Il n'est pas toujours facile de trouver le sommeil dans un environnement de plus en plus bruyant, notamment en ville. Entre les voitures, les sirènes, les passants et les voisins, certains éprouvent bien des difficultés à dormir du sommeil du juste. Cependant, d'autres n'en sont pas contrariés outre mesure.
L'équipe du Docteur Ellebogen s'est penchée sur la manière dont le cerveau filtre les sons durant le sommeil. Douze hommes et femmes volontaires ont été observés dans une clinique durant trois nuits. L'imagerie médicale a révélé comment le thalamus, partie du cerveau qui contrôle les fonctions sensitives, envoie des impulsions électriques aux autres parties du cerveau lorsque la personne endormie est soumise à des bruits extérieurs. Plus le thalamus est actif, moins l'endormi est dérangé dans son sommeil.
Forts de ce constat, les chercheurs souhaitent élaborer un médicament anti-bruit qui stimulerait l'activité du thalamus de ceux qui souffrent des nuisances sonores.
L'équipe du Docteur Ellebogen s'est penchée sur la manière dont le cerveau filtre les sons durant le sommeil. Douze hommes et femmes volontaires ont été observés dans une clinique durant trois nuits. L'imagerie médicale a révélé comment le thalamus, partie du cerveau qui contrôle les fonctions sensitives, envoie des impulsions électriques aux autres parties du cerveau lorsque la personne endormie est soumise à des bruits extérieurs. Plus le thalamus est actif, moins l'endormi est dérangé dans son sommeil.
Forts de ce constat, les chercheurs souhaitent élaborer un médicament anti-bruit qui stimulerait l'activité du thalamus de ceux qui souffrent des nuisances sonores.
Augmenter la taille du texte
Diminuer la taille du texte
Partager
