Autres articles
-
Un Festival de Cannes sous le signe des parrains d'Hollywood, d'hier et de demain
-
Vernissage à Istanbul d'une exposition mettant en lumière la calligraphie marocaine
-
Ecrire. Marguerite Duras
-
Le film "D’Abdul à Leïla" décroche le GP du Festival du cinéma méditerranéen de Tétouan
-
Les oeuvres de l'artiste marocaine Aidan Marak sous les feux de la rampe à New York
La Fondation ONA et le Conseil de la communauté marocaine à l’étranger (CCME) ont organisé une exposition rétrospective des œuvres du peintre marocain André Elbaz simultanément à la Villa des Arts de Casablanca et à la Villa des Arts de Rabat.
De l’avis des organisateurs, cette exposition a été, à tous les égards, exceptionnelle car, jamais auparavant, André Elbaz n’avait montré plus de 250 œuvres, couvrant plus d’un demi-siècle d’une carrière consacrée aux arts plastiques.
Les œuvres d’André Elbaz ont permis au public de découvrir la cohérence interne du parcours de celui qui est l’un des précurseurs de la peinture marocaine contemporaine. Artiste nomade, plasticien pluridisciplinaire, explorateur engagé, ce grand artiste nous a présenté une œuvre riche et forte, viscéralement tournée vers l’Autre.
Ainsi, à Rabat, ont été présentés les travaux de jeunesse et les œuvres de maturité (1955-1986), notamment les collages, les premières toiles abstraites, le thème dit du «Retournement de l’histoire» et son travail de «war artist». A Casablanca, les travaux à base de fibre végétale ont eu une place prépondérante. La série des villes orientales et celle des musiciens ont fait contrepoint aux œuvres très puissantes que sont les œuvres «exécutées», les urnes, les lacérations et les anamorphoses.
A l’occasion de ces deux expositions, un livre a été publié par les éditions La Croisée des chemins. Intitulé, «Tu en verras de toutes les couleurs…. Parcours d’un précurseur de la peinture contemporaine au Maroc».
Cet ouvrage comporte le récit du vécu d’André Elbaz et de ses expériences partagées avec d’autres artistes marocains.
Cette rétrospective constitue assurément l’un des moments les plus forts de cette rentrée artistique au Maroc.
A Casablanca, les œuvres sont exposées du 2 novembre au 30 décembre 2010, et à Rabat, du 9 novembre au 30 décembre 2010.
De l’avis des organisateurs, cette exposition a été, à tous les égards, exceptionnelle car, jamais auparavant, André Elbaz n’avait montré plus de 250 œuvres, couvrant plus d’un demi-siècle d’une carrière consacrée aux arts plastiques.
Les œuvres d’André Elbaz ont permis au public de découvrir la cohérence interne du parcours de celui qui est l’un des précurseurs de la peinture marocaine contemporaine. Artiste nomade, plasticien pluridisciplinaire, explorateur engagé, ce grand artiste nous a présenté une œuvre riche et forte, viscéralement tournée vers l’Autre.
Ainsi, à Rabat, ont été présentés les travaux de jeunesse et les œuvres de maturité (1955-1986), notamment les collages, les premières toiles abstraites, le thème dit du «Retournement de l’histoire» et son travail de «war artist». A Casablanca, les travaux à base de fibre végétale ont eu une place prépondérante. La série des villes orientales et celle des musiciens ont fait contrepoint aux œuvres très puissantes que sont les œuvres «exécutées», les urnes, les lacérations et les anamorphoses.
A l’occasion de ces deux expositions, un livre a été publié par les éditions La Croisée des chemins. Intitulé, «Tu en verras de toutes les couleurs…. Parcours d’un précurseur de la peinture contemporaine au Maroc».
Cet ouvrage comporte le récit du vécu d’André Elbaz et de ses expériences partagées avec d’autres artistes marocains.
Cette rétrospective constitue assurément l’un des moments les plus forts de cette rentrée artistique au Maroc.
A Casablanca, les œuvres sont exposées du 2 novembre au 30 décembre 2010, et à Rabat, du 9 novembre au 30 décembre 2010.