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L'attentat le plus meurtrier s'est produit dans le quartier chiite de Bayaa. Une bombe dans un véhicule en stationnement a explosé près d'ateliers de réparation de véhicules, faisant sept morts et 14 blessés, ont dit des sources policières.
Après la tombée de la nuit, un attentat contre un autre atelier du même type dans le faubourg sunnite de Tadji, à une vingtaine de kilomètres au nord de Bagdad, a fait trois morts et 10 blessés.
Dans un autre attentat, une voiture a explosé sur une place animée du centre de la capitale, faisant cinq morts et 15 blessés.
A Radhouaniya, un secteur sunnite, un engin explosif a tué deux personnes et en a blessé huit autres.
D'autres attentats se sont produits dans les quartiers chiites d'Amel, de Ghadir, de Sadr City, d'Amine et de Houssainiya.
A Bakouba, à 65 km au nord-est de la capitale, l'explosion d'une bombe sur un marché a fait deux morts et sept blessés, selon la police.
La dernière grande série d'attentats à Bagdad remontait au 21 novembre mais la capitale est visée quasi quotidiennement. L’Irak n'avait pas connu un tel niveau de violence depuis au moins cinq ans. Plus de 8.000 personnes ont été tuées en Irak cette année, selon un bilan des Nations unies.
Les insurgés sunnites, pour la plupart liés à Al Qaïda, ont revendiqué plusieurs gros attentats cette année en Irak.
La nébuleuse djihadiste a renforcé son emprise dans plusieurs régions irakiennes à la faveur de la guerre civile en Syrie voisine et du retrait des troupes américaines d'Irak à la fin 2011.