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Ce Salon, le premier du genre dédié aux écrivains maghrébins dans la région, a rassemblé 22 institutions et 14 professionnels de l’édition, a précisé M. Mbarki, faisant état également de la participation de 160 intellectuels de renom aux 34 panels programmés lors de ce rendez-vous culturel d’envergure. 1000 personnes ont assisté à ces rencontres, animées par une pléiade de romanciers, nouvellistes, poètes, et chercheurs venus des cinq pays du Maghreb, du Sénégal et de pays européens, a-t-il fait savoir. En marge de cette édition, 16 rencontres écrivains-public ont été organisées de même que 600 élèves d’écoles publiques et privées ont participé à des ateliers pour encourager la lecture chez les jeunes, a-t-il encore ajouté.
Pour sa part, Abdelkader Retnani, président de l’Union professionnelle des éditeurs du Maroc et membre du comité d’organisation, a indiqué que ce Salon est le fruit de deux années d’efforts soutenus, estimant que «le défi a été relevé» à plusieurs niveaux. Il s’est félicité dans ce sens de la qualité des débats et des invités, de la fréquentation importante du public et du choix pertinent des thèmes abordés lors des panels.
La quatrième et dernière journée de cette manifestation a été marquée notamment par l’organisation de deux tables rondes axées sur ‘’La représentativité du Maroc dans les Salons internationaux du livre’’ et ‘’Mémoire juive de l’Oriental marocain’’. Le Salon maghrébin du livre se veut un espace de débat et d’échange et nourrit l’ambition de devenir une véritable vitrine pour la littérature marocaine et maghrébine. Il a également pour ambition, selon ses initiateurs, de ‘’définir une vision voire une orientation pour enrichir le débat sur la culture et autour des questionnements sur ce que nous sommes, nous autres Maghrébins, pour pouvoir se positionner par rapport à ce qui se passe dans le monde».
Outre les tables rondes, les ateliers de formation, les lectures poétiques et les projections qui ont ponctué les journées de cette édition, un symposium pour la promotion du Prix international du roman arabe, connu sous l'appellation d'Ipaf (International prize for arabic fiction) a été organisé en présence de plusieurs noms ayant gagné ce prix ou y ont participé.