-
Le Premier secrétaire reçoit une délégation de membres des organisations féminines partisanes
-
Les ressources en eau marocaines sous pression
-
Les propositions de l’USFP pour combattre la corruption électorale
-
Le CNDH plaide à Genève pour une gouvernance équitable de l'eau et de l’énergie fondée sur les droits humains
Antonio Urdiales accuse aussi le gouvernement de coalition d'avoir autorisé le chef du Polisario à entrer illégalement en Espagne : « Les vrais responsables de ces événements ne pourront jamais arguer de raisons humanitaires comme base d'exemption de leur responsabilité pénale », at-il déclaré.
L’avocat espagnol explique que Brahim Ghali "n'est pas un migrant irrégulier assisté par des fonctionnaires espagnols à la frontière pour des raisons humanitaires, mais il est accusé d'avoir perpétré un génocide internationalement connu.
Les fonctionnaires espagnols sont pleinement conscients de la situation procédurale de Brahim Ghali devant la Cour nationale », ajoute-t-il en précisant qu'il existe des preuves suffisantes indiquant que "l'entrée de Brahim Ghali en Espagne et son transfert ultérieur à Logroño étaient prémédités et qu’ils sont le résultat d'un accord préalable entre lui et les autorités espagnoles ou entre les autorités espagnoles et algériennes".
Ahmadou El-Katab