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Sous les peintures de Nissrine Seffar, l'empreinte devient trame et les trames se superposent ou bien se côtoient, se conjuguent pour établir comme une sorte de fondation à l'architecture des couleurs qui surviennent et ces fondations contiennent en elles-mêmes la mémoire de lieux. Il y a 80 ans, le grand Pablo Picasso exécutait, en mai 1937 à Paris, l'immense toile pour témoigner de l'horreur de ce premier bombardement sur des civils à Guernica. L'Espagne commémore, cette année, le drame et l'œuvre.
Nissrine Seffar était à Guernica l'année dernière pour prélever les traces de son sol, l'empreinte de ses pavés près du chêne vénéré guidée par le désir ardent de dialoguer avec le chef-d'œuvre du maître. Elle n'est pas seulement une artiste peintre baroudeuse. Elle cherche et révèle aussi chacune des choses dont la forte signifiance impose une présence au débat intérieur, houleux, passionné et profondément sensible.









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