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Madame Chavez a indiqué que le Conseil de sécurité des Nations unies s’est félicité, dans sa résolution 2351 du 28 avril dernier, des mesures et initiatives engagées par le Maroc dans le domaine des droits de l’Homme au Sahara et de l’interaction du Royaume avec les mécanismes relevant des procédures spéciales du Conseil des droits de l’Homme.
Par ailleurs, a-t-elle ajouté, le Conseil de sécurité a exprimé sa vive préoccupation de la dangereuse situation humanitaire qui prévaut dans les camps de Tindouf, en relevant que la résolution onusienne réitère, pour la sixième année consécutive, son appel à l’Algérie afin qu'elle autorise le Haut-commissariat de l'ONU pour les réfugiés (HCR) à procéder au recensement de la population vivant dans les camps de Tindouf.
Dans la première partie de cet article, publié la semaine dernière par le quotidien péruvien « Expreso », l’experte a évoqué le détournement des aides humanitaires destinées aux camps de Tindouf, dévoilé par l'Office européen de lutte anti-fraude (OLAF), en se demandant s’il ne s’agissait pas de la raison pour laquelle l’Algérie refuse de répondre aux appels répétés de l’ONU pour procéder au recensement de la population vivant dans les camps de Tindouf.
Elle a également affirmé que «depuis le début du conflit sur le Sahara marocain dans les années 70, l’Algérie est intervenue de manière systématique en apportant son soutien à une entité fantoche qui ne dispose d’aucun des trois éléments constitutifs d’un Etat, à savoir le peuple, le territoire et le pouvoir».