Autres articles
-
Etre footballeuse avec un bébé n'est plus une rareté
-
La mer Méditerranée a enregistré dimanche une température record pour un mois de juin
-
Des experts américains veulent supprimer des vaccins un composant critiqué par les antivax
-
A Nairobi, des femmes DJ veulent occuper le devant de la scène
-
Japon : Un ours force à l'annulation de vols
La santé respiratoire des riverains des aéroports de Roissy et d'Orly va être examinée pour "évaluer les effets de la pollution due au trafic aérien", a annoncé la région Ile-de-France, à l'origine de cette étude baptisée "Pollunef".
Quatre cents volontaires vont participer à cette enquête qui sera réalisée en deux phases: du 1er avril au 30 juin 2010 puis de septembre à décembre 2010. "L'étude sera ciblée sur des sujets sensibles, enfants asthmatiques de 6 à 14 ans et adultes de plus de 60 ans atteints de bronchites chroniques", précise la région Ile-de-France dans un communiqué.
Des résidents de 53 communes situées à moins de 4km des aéroports de Roissy-Charles de Gaulle et d'Orly porteront "un capteur qui mesurera en permanence leur exposition à l'ozone et au dioxyde d'azote". Parallèlement, seront recueillies quotidiennement dans un carnet des indications telles que les éventuels symptômes respiratoires, les irritations du nez, de la gorge, des yeux ou encore les troubles du sommeil.
Toutes ces données seront ensuite comparées à celles d'habitants de trois communes des Hauts-de-Seine exposées à la seule pollution urbaine. Cela devrait permettre de "mesurer les relations à court terme entre des indicateurs de pollution et des indicateurs de santé respiratoire".
Quatre cents volontaires vont participer à cette enquête qui sera réalisée en deux phases: du 1er avril au 30 juin 2010 puis de septembre à décembre 2010. "L'étude sera ciblée sur des sujets sensibles, enfants asthmatiques de 6 à 14 ans et adultes de plus de 60 ans atteints de bronchites chroniques", précise la région Ile-de-France dans un communiqué.
Des résidents de 53 communes situées à moins de 4km des aéroports de Roissy-Charles de Gaulle et d'Orly porteront "un capteur qui mesurera en permanence leur exposition à l'ozone et au dioxyde d'azote". Parallèlement, seront recueillies quotidiennement dans un carnet des indications telles que les éventuels symptômes respiratoires, les irritations du nez, de la gorge, des yeux ou encore les troubles du sommeil.
Toutes ces données seront ensuite comparées à celles d'habitants de trois communes des Hauts-de-Seine exposées à la seule pollution urbaine. Cela devrait permettre de "mesurer les relations à court terme entre des indicateurs de pollution et des indicateurs de santé respiratoire".