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Des projets en faveur de plusieurs provinces concernées ont vu, lors de ces dernières années, le lancement de projets relatifs à la sauvegarde et la valorisation des oasis, que ce soit à Guelmim, Assa, Tata, M'hamid El Ghizlane, Fezouata, Figuig ou Zagora. Hormis les deux dernières années, ces zones vivaient depuis plus de deux décennies, au rythme d'un déficit hydrique lancinant.
La dégradation des conditions climatiques en général a fait que les populations ont eu recours au pompage de la nappe, ce qui a bien évidemment causé son épuisement et par conséquent l'abandon de centaines d'hectares de palmeraies. Le développement de ces régions passe ainsi par la plantation, autant que faire se peut, de palmiers dattiers, en recourant aux ressources hydriques actuellement mobilisables.
Un projet prometteur vient d'être lancé mardi à Sifa (province d'Errachidia) par SM le Roi Mohammed VI. Il s'agit de la plantation d'un million de palmiers dattiers dans la seule région de Tafilalet, avec tous les effets positifs qui en découleront à tous les niveaux. En effet, ce vaste chantier va d'abord contrecarrer un phénomène lamentable, à savoir le vieillissement des plantations. Le nombre d'arbres en âge de production diminue de plus en plus.
Cette stratégie agira également sur les attitudes parfois irrationnelles et archaïques qui ont entraîné des productions médiocres. Le défi du projet de Tafilalet qui s'inscrit dans le cadre du Plan Maroc Vert, est d'atteindre une production de l'ordre de 95 mille tonnes à l’horizon 2030. Bien évidemment, ces efforts doivent être accompagnés par une dynamique scientifique.
Face à la maladie du "Bayoud", hantise de tous les agriculteurs oasiens, les recherches scientifiques menées par l'Institut national des recherches agricoles (INRA), ont abouti partiellement à donner naissance à quelques genres résistants, tel Nejda qui est déjà sur le marché. Bientôt, une autre variété aura place sur les marchés, en l'occurrence Al Amal.
La dégradation des conditions climatiques en général a fait que les populations ont eu recours au pompage de la nappe, ce qui a bien évidemment causé son épuisement et par conséquent l'abandon de centaines d'hectares de palmeraies. Le développement de ces régions passe ainsi par la plantation, autant que faire se peut, de palmiers dattiers, en recourant aux ressources hydriques actuellement mobilisables.
Un projet prometteur vient d'être lancé mardi à Sifa (province d'Errachidia) par SM le Roi Mohammed VI. Il s'agit de la plantation d'un million de palmiers dattiers dans la seule région de Tafilalet, avec tous les effets positifs qui en découleront à tous les niveaux. En effet, ce vaste chantier va d'abord contrecarrer un phénomène lamentable, à savoir le vieillissement des plantations. Le nombre d'arbres en âge de production diminue de plus en plus.
Cette stratégie agira également sur les attitudes parfois irrationnelles et archaïques qui ont entraîné des productions médiocres. Le défi du projet de Tafilalet qui s'inscrit dans le cadre du Plan Maroc Vert, est d'atteindre une production de l'ordre de 95 mille tonnes à l’horizon 2030. Bien évidemment, ces efforts doivent être accompagnés par une dynamique scientifique.
Face à la maladie du "Bayoud", hantise de tous les agriculteurs oasiens, les recherches scientifiques menées par l'Institut national des recherches agricoles (INRA), ont abouti partiellement à donner naissance à quelques genres résistants, tel Nejda qui est déjà sur le marché. Bientôt, une autre variété aura place sur les marchés, en l'occurrence Al Amal.