-
SM le Roi félicite les Présidents de Corée, d’Irak et d’Allemagne à l'occasion des fêtes nationales de leurs pays
-
Le Groupe socialiste-Opposition ittihadie à la Chambre des représentants interpelle le gouvernement au sujet du plan préconisé pour le renforcement de l’Etat social
-
Pour le think tank britannique, MENAF: Le plan d’autonomie représente la proposition "la plus crédible et la plus largement approuvée"
-
En application des Hautes Instructions Royales, des aides financières aux familles pour réhabiliter les habitations sinistrées
-
Revoir la date de début de l’année fiscale, renforcer le contrôle des finances publiques par le Parlement…
Dans un communiqué, publié à l'occasion des travaux de la 52ème session du Conseil des droits de l'homme (CDH), l'ONG ''Promotion du développement économique et social" (PDES) a relevé que les enfants prennent part aux exercices militaires du '’polisario’’ qui les utilise comme boucliers humains, précisant que dans sa propagande récente, le front s'est vanté du retour au port des armes, avec des enfants participant à des défilés militaires.
Il s'agit d'une exploitation à la fois politique et militaire de milliers d'enfants dans les camps et une violation claire de la convention relative aux droits de l'enfant, en particulier de l'article 4 de son protocole facultatif, relatif à l'implication d’enfants dans les conflits armés, a affirmé l'ONG.
Bien que le droit algérien consacre la protection des enfants victimes de conflits armés, le pays hôte reste indifférent à ce qui se passe dans les camps de Tindouf, où le ‘’polisario’’ enrôle des milliers d'enfants et les prive de leur droit à l'éducation, a observé PDES, qui a présenté plusieurs témoignages de femmes affirmant que leurs enfants sont privés d'une enfance naturelle et prennent part à des opérations militaires, avec des effets néfastes tant sur leur santé physique que morale.
L'ONG a attiré l'attention de la Représentante spéciale du Secrétaire général de l'ONU pour le sort des enfants en temps de conflit armé sur le fait que ces violations ne peuvent être identifiées que par le biais du mécanisme de surveillance et de communication de l'information des Nations unies, inexistant dans les camps de Tindouf.