Autres articles
-
"Opération Madonna". Rio prête à accueillir un concert géant de la star
-
Avec "The Fall Guy", Ryan Gosling cède la lumière aux cascadeurs
-
Harvey Weinstein de retour au tribunal
-
Le gnaoua-jazz, un langage universel qui transcende le temps et l’espace
-
"Alchimie III". Une ode à la musique marocaine par Les Voix du chœur
La salle d’exposition de l’Institut Cervantès de Casablanca accueille à partir de jeudi 7 juin courant une exposition d’œuvres photographiques sur fond de drames humanitaires.
Organisée en collaboration avec le journal espagnol El Pais et l’organisation Médecins sans frontières (MSF), cette exposition porte un regard édifiant sur huit catastrophes humanitaires qui ravagent le monde.
L’exposition donne à voir une réalité qui n’est certes pas méconnue, mais que le monde et ses élites semblent avoir oubliée au profit d’autres préoccupations. Des images témoins des drames que vivent certaines régions du monde et que racontent, à la première personne, huit écrivains de renom de langue espagnole. Il s’agit de: Mario Vargas Llosa, Sergio Ramírez, Laura Restrepo, Juan José Millás, John Carlin, Laura Esquivel, Manuel Vicent et Leila Guerriero.
«Les auteurs ont participé volontairement ; ils ont fait leur reportage en toute liberté, tout en primant le témoignage des victimes», souligne-t-on à l’Institut Cervantès. D’après les organisateurs, «ces huit reportages ont rapproché la figure humaine de ces contextes de violence continue et d’oubli médiatique aux lecteurs d’El Païs Semanal entre 2009 et 2010 ». Et de préciser que les notes de reportage de ces derniers sont rassemblées dans cette exposition avec, en plus, des images et des vidéos inédites.
Présentée sous le signe «Témoins de l'oubli», cette exposition dresse des «portraits de l'horreur quotidienne dans un plaidoyer contre la négligence et l’indifférence, un pari pour l'engagement envers les victimes de violence, maladie et exclusion extrême en Amérique latine, Asie et l'Afrique», résume-t-on.
L’exposition, qui se tient jusqu’au 8 juillet prochain, offre ainsi l’occasion au public marocain et amateurs de photographies de prendre le pouls du monde, particulièrement dans ces régions en proie aux crises et aux nombreux maux. Et d’apprécier, à leur juste valeur, la tragédie qui s’y déroule sous le regard indifférent du monde.
C’est en cela que l’on peut dire que cette exposition «nous rapproche de la souffrance, de la violence continue et aussi de l’oubli médiatique des coins les plus dévastés de la planète: République démocratique du Congo, Haïti, Yémen, Cachemire, Malaisie et Bangladesh, Guatemala, Colombie et Zimbabwe», précisent les organisateurs.
Le vernissage de cette exposition aura lieu en présence de Jesús Ruiz Mantilla. Journaliste et écrivain, ce dernier travaille dans le journal El País depuis 1992. Il est le commissaire de l’exposition.
Organisée en collaboration avec le journal espagnol El Pais et l’organisation Médecins sans frontières (MSF), cette exposition porte un regard édifiant sur huit catastrophes humanitaires qui ravagent le monde.
L’exposition donne à voir une réalité qui n’est certes pas méconnue, mais que le monde et ses élites semblent avoir oubliée au profit d’autres préoccupations. Des images témoins des drames que vivent certaines régions du monde et que racontent, à la première personne, huit écrivains de renom de langue espagnole. Il s’agit de: Mario Vargas Llosa, Sergio Ramírez, Laura Restrepo, Juan José Millás, John Carlin, Laura Esquivel, Manuel Vicent et Leila Guerriero.
«Les auteurs ont participé volontairement ; ils ont fait leur reportage en toute liberté, tout en primant le témoignage des victimes», souligne-t-on à l’Institut Cervantès. D’après les organisateurs, «ces huit reportages ont rapproché la figure humaine de ces contextes de violence continue et d’oubli médiatique aux lecteurs d’El Païs Semanal entre 2009 et 2010 ». Et de préciser que les notes de reportage de ces derniers sont rassemblées dans cette exposition avec, en plus, des images et des vidéos inédites.
Présentée sous le signe «Témoins de l'oubli», cette exposition dresse des «portraits de l'horreur quotidienne dans un plaidoyer contre la négligence et l’indifférence, un pari pour l'engagement envers les victimes de violence, maladie et exclusion extrême en Amérique latine, Asie et l'Afrique», résume-t-on.
L’exposition, qui se tient jusqu’au 8 juillet prochain, offre ainsi l’occasion au public marocain et amateurs de photographies de prendre le pouls du monde, particulièrement dans ces régions en proie aux crises et aux nombreux maux. Et d’apprécier, à leur juste valeur, la tragédie qui s’y déroule sous le regard indifférent du monde.
C’est en cela que l’on peut dire que cette exposition «nous rapproche de la souffrance, de la violence continue et aussi de l’oubli médiatique des coins les plus dévastés de la planète: République démocratique du Congo, Haïti, Yémen, Cachemire, Malaisie et Bangladesh, Guatemala, Colombie et Zimbabwe», précisent les organisateurs.
Le vernissage de cette exposition aura lieu en présence de Jesús Ruiz Mantilla. Journaliste et écrivain, ce dernier travaille dans le journal El País depuis 1992. Il est le commissaire de l’exposition.