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Dans la série des films documentaires "Sale temps pour la planète!" diffusés par la télévision française France 5, un film de 52 minutes a été consacré à la lutte contre la désertification au Maroc et rediffusé par France 5 dimanche 29 août courant à 15h22 sous le titre de "Maroc, en marche contre le désert" réalisé par Morad Ait Habbouche et Hervé Corbiere et produit par "Elle est pas belle la vie!" avec la participation de : France Télévisions, Planète Thalassa, CNC (Cinéma et Image animée).
Selon la chaîne de télévision France 5, ce film documentaire intéressant et digne d'intérêt précise qu'aux portes de l'Europe, le Royaume Chérifien (le Maroc) est, aujourd'hui, l'antichambre du désert. Des sécheresses plus aiguës et plus prolongées, des pluies diluviennes associées à une augmentation des températures provoquent de nouvelles migrations de populations vers le Nord.
A 93% aride ou semi-aride, le Maroc est confronté à plusieurs problèmes qui amplifient le manque d'eau entraînant la diminution de la diversité biologique, la désertification, l'érosion côtière et l'exode rural.
Mais, précise-t-on, le Maroc refuse de se laisser envahir par le sable. Il s'est lancé dans une "marche verte" pour aider les Marocains les plus vulnérables car les plus pauvres, à s'adapter au mieux au changement climatique. Cette marche contre le désert s'annonce lente et âpre dans un pays à l'économie fragile. Le Maroc dépend principalement de l'agriculture et du tourisme, deux secteurs hautement vulnérables aux caprices du climat...
Selon la chaîne de télévision France 5, ce film documentaire intéressant et digne d'intérêt précise qu'aux portes de l'Europe, le Royaume Chérifien (le Maroc) est, aujourd'hui, l'antichambre du désert. Des sécheresses plus aiguës et plus prolongées, des pluies diluviennes associées à une augmentation des températures provoquent de nouvelles migrations de populations vers le Nord.
A 93% aride ou semi-aride, le Maroc est confronté à plusieurs problèmes qui amplifient le manque d'eau entraînant la diminution de la diversité biologique, la désertification, l'érosion côtière et l'exode rural.
Mais, précise-t-on, le Maroc refuse de se laisser envahir par le sable. Il s'est lancé dans une "marche verte" pour aider les Marocains les plus vulnérables car les plus pauvres, à s'adapter au mieux au changement climatique. Cette marche contre le désert s'annonce lente et âpre dans un pays à l'économie fragile. Le Maroc dépend principalement de l'agriculture et du tourisme, deux secteurs hautement vulnérables aux caprices du climat...