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Opération de reconstruction post-séisme sous le signe de la détermination et de l'engagement continu à la commune d’Adassil
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Dans le cadre de l’opération humanitaire ordonnée par SM le Roi Mohammed VI, l'Agence Bayt Mal Al Qods remet des équipements à l’hôpital “Le Croissant Rouge ” à Al Qods
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Les chiffres du ministre sonnent faux
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L’axe Tindouf-Zouerate s’avère être le plus dangereux de l’Afrique du Nord
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Focus sur les efforts du Maroc dans la lutte contre le trafic de psychotropes
Les pancartes brandies depuis le départ des manifestants de Bab El Had et les slogans qu’ils n’ont cessé de scander jusque devant le Parlement ont donc traduit l’intensité de la peine qu’ils ont ressentie en voyant les Etats-Unis se ranger ouvertement et officiellement aux-côtés des occupants, approuver leurs crimes et denier les droits légitimes et historiques du peuple palestinien frère. Un peuple discriminé dans ses droits à disposer de lui-même, d’avoir une souveraineté nationale, de recouvrer sa terre et de créer son Etat indépendant. Un peuple qu’Israël ne cesse de martyriser, de réprimer, de bombarder, d’assassiner, de déposséder et d’exiler, avec le soutien actif et multiforme des Etats-Unis qui paralysent, entre autres, toute action du Conseil de sécurité via leurs incontournables et nombreux veto.
Organisée à l'initiative du Groupe d'action nationale de soutien à la Palestine et de l’Association marocaine de solidarité avec la lutte palestinienne pour réaffirmer la position constante du peuple marocain, de ses partis politiques, ses syndicats et ses ONG, cette Marche de la colère, comme l’a qualifiée le Bureau politique de l’USFP, qui a d’ailleurs appelé à une participation massive, a été précédée, la veille, par une intervention forte du chef de la diplomatie marocaine, Nasser Bourita, lors de la réunion d’urgence des ministres des Affaires étrangères arabes, tenue au Caire et dans laquelle il a appelé à des actions intenses et pragmatiques pour faire face à la décision américaine tout en rappelant la lettre Royale adressée au président Trump et le message du Souverain au secrétaire général de l’ONU ainsi que la convocation du chargé d’affaires de l’ambassade des Etats-Unis à Rabat. Une ville qui a vu la naissance de l’OCI en 1969 suite à l’incendie criminel de la Mosquée Al Aqsa. Si cet évènement avait permis au milliard de musulmans que le monde compte d’unir leurs efforts dans un cadre de concertation et de décision, l’initiative de Donald Trump qui a mis le feu aux poudres doit être contrée par des décisions autrement plus efficientes. C’est en fin de compte ce que les manifestants de Rabat ont réclamé.