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Dans cette nouvelle mini-série, dont le premier épisode a été diffusé dimanche sur HBO et lundi sur OCS, elle est Grace Fraser, psychothérapeute, au centre du récit alors que “Big Little Lies” était davantage une série chorale. Tout comme dans “BLL”, “The Undoing” écorne progressivement, sur six épisodes, l’image impeccable de son existence. “La série est très axée sur le parcours psychologique de cette femme”, a expliqué à la chaîne australienne Foxtel Nicole Kidman, co-productrice des deux séries. Pour le comédien britannique Hugh Grant, qui joue son mari, cette mini-série est un “thriller à la scandinave, avec une grosse énigme qui fonctionnera, j’espère”, comme il l’a expliqué sur HBO.
La touche scandinave est assurée par la réalisatrice danoise Susanne Bier (“Brothers” et la mini-série “The Night Manager”), et parachevée par une esthétique dépouillée et inquiétante. Habitué des comédies romantiques, rendu célèbre pour ses rôles de Britannique bon teint, Hugh Grant brille ici dans un registre plus sombre, plein d’aspérités, vers lequel il s’est tourné ces dernières années (“A Very English Scandal” notamment). Si la critique américaine a été globalement séduite par le jeu des acteurs, elle a regretté que le scénario ne soit pas plus étoffé et s’essouffle.
Créateur d’une foule de séries à succès, de “Ally McBeal” jusqu’à “Goliath”, David E. Kelley travaille déjà à un nouveau projet. Toujours avec Nicole Kidman, il prépare l’adaptation en mini-série de “Nine Perfect Strangers”, autre roman de Liane Moriarty, l’auteur de “Big Little Lies”, pour la plateforme Hulu.