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Ce changement qui n’est certes pas facile à gérer d’un point de vue technique et technologique, aura également des répercussions sur les utilisateurs. Notamment les entreprises, les établissements financiers, les administrations et même les particuliers. Il risque, à n’en pas douter, d’impacter négativement leurs budgets.
Les papiers à en-têtes, les chèques, les bons au porteur, les cartes visites et tous les autres documents administratifs ou commerciaux qui portent les adresses et numéros de téléphones de leurs titulaires devront être changés.
A un moment où les entreprises réclament des mesures d’accompagnement pour faire face à l’impact de la crise financière et économique sur le Maroc, elles seront appelées à changer l’ensemble de leurs « consommables ».
Quant aux administrations publiques, la maîtrise des coûts de fonctionnement risque d’être renvoyée aux calendes grecques.
A cet égard, il est légitime de se poser des questions sur l’opportunité et la fréquence de pareils changements de numérotation. La visibilité ne suppose-t-elle pas une planification à moyen et long termes ?







