
Pour sa part, la France est décidée à punir Damas pour ce qu’elle qualifie de crime contre la population civile et de dépassement d’une ligne rouge. Pour le président François Hollande, l’utilisation d’armes chimiques en Syrie nécessite une riposte de la communauté internationale. Cependant, aucune décision ne sera dans ce sens prise par la France avant le 4 septembre, date de la session extraordinaire du Parlement. Le Premier ministre français, Jean-Marc Ayrault, lui, a reçu des responsables parlementaires à la veille de ladite session.
Pour ce qui est du Maroc officiel, le ministère des Affaires étrangères et de la Coopération a réitéré sa condamnation de l’utilisation d’armes chimiques à Ghota et dont, selon un communiqué du département de Ottmani, le pouvoir syrien assume l’entière responsabilité