
Mais les Algériens continuent de manifester, réclamant le démantèlement du "système" qui dirige le pays depuis l'indépendance en 1962 et le départ de tous ses représentants, dont fait partie le nouveau président Abdelmadjid Tebboune, élu le 12 décembre lors d'un scrutin marqué par un taux d’abstention record.
La suite des évènements : Le chef d’état-major algérien, le général Gaïd Salah rend l’arme à gauche et le président fraîchement élu nomme un premier ministre, l’universitaire Abdelaziz Djerad qui dit vouloir regagner la confiance du peuple.
Sauf que le Hirak se poursuit de plus belle et lors du dernier vendredi de 2019, ils étaient des dizaines de milliers à manifester dans les rues des différentes villes algériennes.