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Le tribunal de première instance de Dakhla a rendu, jeudi 1er octobre 2015, son verdict dans l’affaire des jeunes agitateurs qui s’étaient attaqués aux éléments des forces de l’ordre, dans la soirée du lundi au mardi derniers.
Sept mis en cause ont été condamnés à des peines de 6 mois de prison ferme, tandis que deux autres, mineurs et en liberté surveillée, ont été acquittés.
Des accrochages ont opposé les forces de l’ordre aux familles des condamnés qui s’étaient rassemblées autour du palais de justice. Rappelons qu’un groupe d'une quarantaine de personnes, en majorité des mineurs, avait attaqué, mardi vers 03h00 du matin, dans les quartiers de Tounsi, Ksiksate et Labchate, situés au centre-ville de Dakhla, des forces de l’ordre, en faisant usage de pierres, de bâtons et de bouteilles incendiaires, faisant ainsi de nombreux blessés parmi les forces de l’ordre.
19 agents blessés ont été admis à l’hôpital régional où ils ont été soignés pour blessures.
Contraintes d'intervenir pour disperser les agitateurs, les forces de l’ordre ont procédé à l'arrestation de neuf individus et ouvert une enquête sous la supervision du parquet général, tout en avisant leurs proches.
Sept mis en cause ont été condamnés à des peines de 6 mois de prison ferme, tandis que deux autres, mineurs et en liberté surveillée, ont été acquittés.
Des accrochages ont opposé les forces de l’ordre aux familles des condamnés qui s’étaient rassemblées autour du palais de justice. Rappelons qu’un groupe d'une quarantaine de personnes, en majorité des mineurs, avait attaqué, mardi vers 03h00 du matin, dans les quartiers de Tounsi, Ksiksate et Labchate, situés au centre-ville de Dakhla, des forces de l’ordre, en faisant usage de pierres, de bâtons et de bouteilles incendiaires, faisant ainsi de nombreux blessés parmi les forces de l’ordre.
19 agents blessés ont été admis à l’hôpital régional où ils ont été soignés pour blessures.
Contraintes d'intervenir pour disperser les agitateurs, les forces de l’ordre ont procédé à l'arrestation de neuf individus et ouvert une enquête sous la supervision du parquet général, tout en avisant leurs proches.
