-
Félix Tshisekedi: L'accord de paix entre la RDC et le Rwanda ouvre la voie à une nouvelle ère de stabilité
-
Le sud de l'Europe étouffe sous une chaleur sans répit
-
Cessez-le-feu: L'Iran exprime de "sérieux doutes" quant au respect des engagements d'Israël
-
Le grand-père de la future patronne du MI6 était espion pour les Nazis
S'adressant à l'école militaire de Sanaa, il affirmé qu'il ne tolèrera pas que l'armée reste divisée, et qu'il ne permettra aucune tentative visant à détourner l'armée de ses tâches essentielles. "Parler de stabiliser le pays et protéger les gens et leurs intérêts n'a pas de sens sans une armée et des forces de sécurité fortes et unifiées", a soutenu M. Hadi.
Des militaires dissidents avaient rejoint les manifestants pour protester contre le régime de l'ancien président Ali Abdallah Saleh, et participé à d'intenses combats contre les forces de sécurité et les troupes loyales à M. Saleh, qui a quitté le pouvoir dans le cadre d'un accord négocié sous la houlette des pays du Golfe.
Des partisans de Saleh et des membres de sa famille continuent à diriger d'importantes sections des forces de sécurité, notamment la garde républicaine, unité d'élite dirigée son fils Ahmed. D'autres ont été limogés.
Il s'est en outre engagé à intensifier la lutte contre Al-Qaïda, dont des membres ont profité de l'affaiblissement du pouvoir central à Sanaa pour prendre le contrôle de zones dans le sud et l'est de ce pays très pauvre.