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Centré sur les années 2006-2011, celles précisément de ces fêtes légendaires, précédant la chute de Silvio Berlusconi, le film décrit surtout l’époque et moins le personnage et ses frasques sexuelles et judiciaires. Le sexe, la drogue ou la prostitution semblent être devenus culture de masse et le passeport nécessaire pour accéder aux salons du pouvoir et à l’argent.
Une grande partie de ce premier volet décrit le rôle joué par l’entrepreneur Gianpaolo Tarantini, actuellement détenu pour trafic de drogue, dans l’organisation de ces fêtes érotiques. “Loro” raconte avec les yeux de Sorrentino cette société “berlusconienne” fascinée par le pouvoir et ses attributs. Interrogé sur son projet, en marge du Festival de Cannes l’an passé, Sorrentino avait expliqué son choix: “Parce que je suis italien et je veux faire un film sur les Italiens. Berlusconi est l’archétype de «l’italianité» et à travers lui je peux raconter les Italiens”.