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Ils ont fait savoir également que cette rencontre organisée sous le thème «Un Maroc sans violations flagrantes des droits de l’Homme : les conditions, les nécessités et les issues», à l’occasion de la célébration de la Journée mondiale des droits de l’Homme, se veut une occasion idoine pour se pencher sur les différentes étapes franchies par les droits humains au Maroc.
Les participants ont tenu à indiquer également qu’il existe une conviction collective quant à la nécessité de préserver les acquis dans le domaine des droits de l’Homme et des libertés publiques et de continuer à marquer la rupture avec les pratiques précédentes.
Ils ont tenu à souligner également que la protection des droits de l’Homme relève de la responsabilité de l’Etat, notant, dans ce contexte, que les militants de ces droits se trouvent plus que jamais appelés à formuler des propositions à même de rehausser ce domaine au niveau escompté.
Les participants à cette rencontre initiée, dans le cadre du 3ème Congrès national du FJV, dont les travaux devaient démarrer vendredi soir dans la cité ocre sous le slogan «Mamfakinch» (Nous ne relâchons pas), ont, en outre, estimé que la mise en œuvre de certaines recommandations de l’Instance Equité et Réconciliation (IER) suppose une volonté politique, entre autres, l’abolition de la peine de mort du Code pénal.
Les interventions des différents participants ont été également axées aussi sur le progrès qu’a connu la mise en œuvre des recommandations de cette instance notamment, pour ce qui est de la réparation des dommages matériels, l’instauration de la couverture médicale en faveur des victimes des violations flagrantes des droits de l’Homme et leur insertion sociale, outre le démarrage du programme de réparation du dommage collectif qui concerne 11 régions choisies par l’IER comme zones ayant connu de flagrantes violations des droits de l’Homme.
Ils ont fait remarquer, dans ce contexte, que l’IER adoptait dans sa méthode de travail l’approche genre en matière de réparation du dommage, estimant que la mémoire collective de ces violations se veut une reconnaissance morale à l’égard des victimes et de la société.