Six maisons d'édition représentent le Maroc au 17e Salon international du livre d'Alger (Sila), organisé du 20 au 29 septembre avec la participation de plus de 600 éditeurs venus de 41 pays.
Trois éditeurs casablancais, deux de Rabat et une maison d'édition de Marrakech, exposent plus de 3000 titres d'ouvrages se rapportant aux différents genres, et dont la plupart sont parus en 2012.
A travers cette participation, soutenue par le ministère de la Culture, "nous aspirons à faire connaître le livre marocain auprès des amoureux du livre, notamment les étudiants et les chercheurs algériens", ont souligné des exposants marocains, dans des déclarations à la MAP.
Le rayonnement de la culture marocaine et le renforcement des liens avec les établissements concernés par le livre en Algérie sont aussi les objectifs visés par ces exposants.
L'Afrique est à l'honneur avec le stand « Esprit Panaf » dédié à la littérature africaine dont plusieurs auteurs aborderont des thématiques relatives à la création littéraire ainsi qu'à l'histoire des indépendances.
Organisé autour du slogan +Mon livre, ma liberté+, le Salon réunit les professionnels de l'édition, des métiers du livre, des écrivains, des poètes, des universitaires et des intellectuels étrangers de renom.
Par ailleurs, 300 livres ont été interdits à l'exposition cette année. S'exprimant à ce sujet, lors d'une émission radio, la ministre algérienne de la Culture, Khalida Toumi, a refusé d'utiliser le terme +censure+.
Pour elle, il s'agit simplement d'appliquer la loi et la réglementation algériennes, qui interdisent +les écrits faisant l'apologie du terrorisme, du racisme, du colonialisme+.
Par ailleurs, Mme Toumi a plaidé pour la professionnalisation du Salon. Ceci passe, selon elle, par la signature de contrats, la cession des droits, afin, notamment, de faire baisser le prix des livres en langue française commercialisés en Algérie.
Le 17e Salon international du livre d'Alger se tient jusqu'au 29 septembre 2012 au Palais des expositions des Pins Maritimes (Safex) à l'est d'Alger.
Trois éditeurs casablancais, deux de Rabat et une maison d'édition de Marrakech, exposent plus de 3000 titres d'ouvrages se rapportant aux différents genres, et dont la plupart sont parus en 2012.
A travers cette participation, soutenue par le ministère de la Culture, "nous aspirons à faire connaître le livre marocain auprès des amoureux du livre, notamment les étudiants et les chercheurs algériens", ont souligné des exposants marocains, dans des déclarations à la MAP.
Le rayonnement de la culture marocaine et le renforcement des liens avec les établissements concernés par le livre en Algérie sont aussi les objectifs visés par ces exposants.
L'Afrique est à l'honneur avec le stand « Esprit Panaf » dédié à la littérature africaine dont plusieurs auteurs aborderont des thématiques relatives à la création littéraire ainsi qu'à l'histoire des indépendances.
Organisé autour du slogan +Mon livre, ma liberté+, le Salon réunit les professionnels de l'édition, des métiers du livre, des écrivains, des poètes, des universitaires et des intellectuels étrangers de renom.
Par ailleurs, 300 livres ont été interdits à l'exposition cette année. S'exprimant à ce sujet, lors d'une émission radio, la ministre algérienne de la Culture, Khalida Toumi, a refusé d'utiliser le terme +censure+.
Pour elle, il s'agit simplement d'appliquer la loi et la réglementation algériennes, qui interdisent +les écrits faisant l'apologie du terrorisme, du racisme, du colonialisme+.
Par ailleurs, Mme Toumi a plaidé pour la professionnalisation du Salon. Ceci passe, selon elle, par la signature de contrats, la cession des droits, afin, notamment, de faire baisser le prix des livres en langue française commercialisés en Algérie.
Le 17e Salon international du livre d'Alger se tient jusqu'au 29 septembre 2012 au Palais des expositions des Pins Maritimes (Safex) à l'est d'Alger.
Festival de théâtre de Hay Mohammadi
