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Mais, voilà, le ciel n’est pas aussi dégagé qu’on le supposait. L’exécution de la loi de finances 2010 n’est pas aussi limpide. La hausse du coût des matières énergétiques sur les marchés internationaux et la forte appréciation du dollar, conjuguée à la forte baisse de l’euro devaient chambouler un peu les prévisions. Ainsi, les charges de la Caisse de compensation -pour ne citer que cet élément-, enregistreront, selon le ministre, «une hausse de 11 milliards de DH par rapport aux prévisions initiales».
Cela dit, en dépit de la crise chez nos partenaires européens, le ministre des Finances prévoit un autre scénario rose pour 2011, avec un taux de croissance de 5,2%. Certes, personne ne connaît d’avance la couleur du ciel, mais Salaheddine Mezouar a la certitude que l’économie mondiale est en amélioration et que le Maroc, ayant mis en place une panoplie de chantiers et de projets, saura tirer meilleur profit de cette crise.