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Le Premier secrétaire reçoit une délégation de membres des organisations féminines partisanes
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L'égalité administrative requiert la vigilance du législateur et l'application des dispositions constitutionnelles
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Azzeddine Farhane réitère à Vienne l’attachement du Maroc, sous la Conduite éclairée de Sa Majesté le Roi Mohammed VI, aux principes de la coopération Sud-Sud et de la solidarité africaine
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Le CNDH plaide à Genève pour une participation accrue des jeunes à la promotion des droits humains
Dès 10 heures du matin, la foule s’est amassée à proximité de la mosquée où allait être accomplie la prière d’Ad Dohr. Les forces de l’ordre se sont déployées un peu partout jusque dans les ruelles attenantes. Le PJD a pensé à tout, y compris au service d’ordre formé de jeunes militants, organisant le travail des journalistes, photographes et cameramen venus très nombreux.
Ministres, leaders de partis de la majorité et de l’opposition, figures associatives, généraux, ambassadeurs ont tenu à accompagner le défunt jusqu’à sa dernière demeure. Tout au long du passage emprunté par le convoi, des centaines et des centaines d’hommes, de femmes, de jeunes et moins jeunes ont pris place. « Allah Wa Akbar », ont crié certains.
Tôt dans la matinée, le quartier des Orangers, lieu de résidence d’Abdelilah Benkirane, était bouclé. A 11 heures, il était impossible d’y accéder.
Ce mardi 9 décembre, l’émotion de la disparition tragique d’Abdallah Baha était encore vive. Le numéro 2 du gouvernement et plus proche conseiller de Benkirane a été percuté par un train dimanche à Bouznika, tout près de l’endroit même où le socialiste Ahmed Zaidi avait perdu la vie, il y a un mois jour pour jour.