-
Opération de reconstruction post-séisme sous le signe de la détermination et de l'engagement continu à la commune d’Adassil
-
Dans le cadre de l’opération humanitaire ordonnée par SM le Roi Mohammed VI, l'Agence Bayt Mal Al Qods remet des équipements à l’hôpital “Le Croissant Rouge ” à Al Qods
-
Les chiffres du ministre sonnent faux
-
L’axe Tindouf-Zouerate s’avère être le plus dangereux de l’Afrique du Nord
-
Focus sur les efforts du Maroc dans la lutte contre le trafic de psychotropes
Intervenant lors des sessions organisées dans le cadre du Forum international de l'investissement «Africa 2018» à Charm el-Cheikh (8-9), elle a souligné qu'à la lumière des contraintes structurelles entravant le progrès économique et la compétitivité des pays africains, ainsi que la tendance vers une politique protectionniste, l'accord portant sur la zone de libre-échange continentale (ZLEC) est un pas prometteur pour l'avenir du commerce intra-africain, qui mérite d'être appuyé, indique un communiqué du secrétariat d'Etat dont la MAP a reçu une copie.
Cette démarche doit être appuyée par un processus de négociation global et une libération graduelle favorisant une complémentarité régionale et continentale pour que les partenariats africains soient intégrés dans la liste «Fortune Global 500», a-t-elle poursuivi.
Le continent africain est le dernier refuge de l'économie mondiale vu ses potentiels prometteurs de développement et la concentration d'un capital humain devant atteindre 2 milliards en 2040 dont 70 % de jeunes de moins de 30 ans, outre le développement accéléré des zones de libre-échange, a expliqué la secrétaire d'Etat, relevant que les dix prochaines années connaîtront une hausse de la population urbaine de près de 200 millions avec ce qui implique en termes de croissance du niveau de consommation qui s'approchera de celui des pays en développement.
Ce Forum, qui a été marqué par la participation de chefs d'Etat et de gouvernement africains en plus d'un parterre d'experts et d'acteurs du monde des affaires et de la société civile, s'est penché sur l'avenir des partenariats économiques, de la dynamique des investissements et des moyens de mettre en place des plateformes de coopération entre les gouvernements et le secteur privé dans les différents secteurs à forte valeur ajoutée en Afrique.