Alors que les frappes militaires de la Coalition en Libye devraient baisser d’intensité dans les jours qui viennent et que le Conseil de sécurité pourrait discuter ce jeudi de l’appel de la Russie à un cessez-le-feu, les forces pro-Kadhafi concentraient leurs bombardements, hier, sur les populations civiles de Misrata.
Par ailleurs, un avion de combat américain F-15 participant à l’opération « Aube de l’Odyssée » de la coalition s’est écrasé lundi soir en Libye suite à une défaillance mécanique, selon l’armée américaine qui n’a pas précisé le lieu de l’accident. Ses deux occupants, le pilote et l’opérateur du système d’armes (radars, missiles, etc.) ont pu s’éjecter et être récupérés sains et saufs.
Comme toute guerre, celle qui est menée actuellement par la Coalition internationale contre le régime de Kadhafi est sanglante et nul ne peut en prédire les conséquences. Mais il semble déjà que son issue dépendra du départ ou non de Mouammar Kadhafi et de sa fratrie et, en définitive, d’un changement de régime. Car aujourd’hui, il n’y a plus rien à négocier avec ce colonel qui ne cesse de répéter qu’il exterminera jusqu’au dernier les insurgés – qualifiés de «terroristes» – qui lui résisteraient.
Pour l’heure, au sein de la coalition, personne n’ose formuler cet objectif de façon aussi claire.
L’engrenage de la guerre a été dicté par l’intransigeance d’un dictateur sanguinaire qui n’a nulle intention de suivre les traces d’un Ben Ali ou d’un Hosni Moubarak. Il se battra jusqu’à la mort. Il devient donc de plus en plus urgent d’armer les insurgés afin qu’ils puissent se battre contre ce régime qui les opprime depuis 42 ans. Il est désormais trop tard pour reculer.
Par ailleurs, un avion de combat américain F-15 participant à l’opération « Aube de l’Odyssée » de la coalition s’est écrasé lundi soir en Libye suite à une défaillance mécanique, selon l’armée américaine qui n’a pas précisé le lieu de l’accident. Ses deux occupants, le pilote et l’opérateur du système d’armes (radars, missiles, etc.) ont pu s’éjecter et être récupérés sains et saufs.
Comme toute guerre, celle qui est menée actuellement par la Coalition internationale contre le régime de Kadhafi est sanglante et nul ne peut en prédire les conséquences. Mais il semble déjà que son issue dépendra du départ ou non de Mouammar Kadhafi et de sa fratrie et, en définitive, d’un changement de régime. Car aujourd’hui, il n’y a plus rien à négocier avec ce colonel qui ne cesse de répéter qu’il exterminera jusqu’au dernier les insurgés – qualifiés de «terroristes» – qui lui résisteraient.
Pour l’heure, au sein de la coalition, personne n’ose formuler cet objectif de façon aussi claire.
L’engrenage de la guerre a été dicté par l’intransigeance d’un dictateur sanguinaire qui n’a nulle intention de suivre les traces d’un Ben Ali ou d’un Hosni Moubarak. Il se battra jusqu’à la mort. Il devient donc de plus en plus urgent d’armer les insurgés afin qu’ils puissent se battre contre ce régime qui les opprime depuis 42 ans. Il est désormais trop tard pour reculer.
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