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Mahjoub Ould Salek, l'un des fondateurs du polisario et leader du mouvement "Khatt al-Shahid", a reproché aux dirigeants du polisario de ne pas s'être débarrassés du fardeau de la tutelle du régime algérien qui tente de se servir des populations séquestrées comme moyen de pression pour déstabiliser le Royaume du Maroc.
Il a estimé qu'après trois décennies d'opposition aux dirigeants du polisario à la solde de la junte militaire algérienne, il est convaincu qu'il n'y a aucun espoir de changer donne. L’Algérie rejette toute prise de décision politique, ce qui fait des fantoches du polisario de simples exécutants.
Dans un communiqué publié en marge de sa participation au symposium intitulé « Le rôle de la société civile dans le développement territorial», le leader du mouvement «Khat al-Shahid» a indiqué que «nous avons le choix entre deux solutions : celle de rester éternellement dans l'enfer des camps de Tindouf ou d'accepter le plan d'autonomie qui nous permet de gérer nos affaires et de préserver nos spécificités culturelles sous la souveraineté du Royaume du Maroc ».
Mahjoub Ould Salek a soutenu que les tentatives de déstabilisation du Maroc seront toutes vouées à l’échec, parce qu'il existe un consensus national sur la question du Sahara marocain.
Ahmadou El-Katab
Il a estimé qu'après trois décennies d'opposition aux dirigeants du polisario à la solde de la junte militaire algérienne, il est convaincu qu'il n'y a aucun espoir de changer donne. L’Algérie rejette toute prise de décision politique, ce qui fait des fantoches du polisario de simples exécutants.
Dans un communiqué publié en marge de sa participation au symposium intitulé « Le rôle de la société civile dans le développement territorial», le leader du mouvement «Khat al-Shahid» a indiqué que «nous avons le choix entre deux solutions : celle de rester éternellement dans l'enfer des camps de Tindouf ou d'accepter le plan d'autonomie qui nous permet de gérer nos affaires et de préserver nos spécificités culturelles sous la souveraineté du Royaume du Maroc ».
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Ahmadou El-Katab
