-
La Fondation nationale des musées rend hommage au professeur d'anthropologie Ali Amahan
-
Larache s’apprête à accueillir le Festival international Entrerritimos
-
Vol de bijoux au Louvre: Les cambrioleurs traqués, le musée sous pression
-
17ᵉ Festival soufi de Fès : Dialogue des arts entre l’Espagne et le Maroc en ouverture
Dans ce poème dédié aux violations des droits de l’Homme perpétrées pendant les années de plomb, Ould Soueyeh décrit les séquestrations, l’oppression et les tortures infligées à des gens, souvent innocents, avant d’expliquer que le gouvernement marocain a reconnu, à travers l’IER, les tords infligés à ces victimes, tout en procédant à des réparations morales et matérielles, contrairement à ce qui se passe dans les camps du Polisario où les violations des droits de l’Homme et la torture sous toutes ses formes perdurent. Lors de sa participation au Festival, Soueyeh a récité l’un de ses récents poèmes où il a évoqué la partialité de la présidente du CRK et le prix payé par les ennemis du Maroc pour falsifier le rapport de Madame Kennedy.
Natif de Laâyoune, Soueyeh a représenté les provinces sahariennes dans plusieurs festivals nationaux et internationaux. Il a souvent été récompensé pour ses poèmes mettant en exergue son patriotisme et sa défense de la cause nationale. Il a été honoré pour ses positions en obtenant la médaille de l’ordre national du Mérite en 2012.








La Fondation nationale des musées rend hommage au professeur d'anthropologie Ali Amahan
