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Dans ce poème dédié aux violations des droits de l’Homme perpétrées pendant les années de plomb, Ould Soueyeh décrit les séquestrations, l’oppression et les tortures infligées à des gens, souvent innocents, avant d’expliquer que le gouvernement marocain a reconnu, à travers l’IER, les tords infligés à ces victimes, tout en procédant à des réparations morales et matérielles, contrairement à ce qui se passe dans les camps du Polisario où les violations des droits de l’Homme et la torture sous toutes ses formes perdurent. Lors de sa participation au Festival, Soueyeh a récité l’un de ses récents poèmes où il a évoqué la partialité de la présidente du CRK et le prix payé par les ennemis du Maroc pour falsifier le rapport de Madame Kennedy.
Natif de Laâyoune, Soueyeh a représenté les provinces sahariennes dans plusieurs festivals nationaux et internationaux. Il a souvent été récompensé pour ses poèmes mettant en exergue son patriotisme et sa défense de la cause nationale. Il a été honoré pour ses positions en obtenant la médaille de l’ordre national du Mérite en 2012.