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Invité par la Fondation Mahmoud Darwich dans le cadre du projet de dramaturgie arabe contemporaine, Taha Adnan a ensorcelé les férus de poésie à Ramallah, mais aussi des poètes venus de Beit Sahour et d’Al Qods occupée. De son dernier recueil «Je hais l’amour», le poète a lu le poème de même titre : … je n’aime pas la poésie ancienne/ Tributaire de commentaires/ D’une foule d’exégètes/ Je hais la critique moderne/ Monnaie facile». Puis le poème intitulé «Elégie d’Amado Diallo» dans lequel il dit : «… L’Afrique est enfer du monde/ Maudits sont ses fils/ Sans faute commise». Et «Nino», où Taha Adnan déclare : «Ce jeune homme/Banni par tous les royaumes/ Détruit par les batailles/ Chevalier de premier front/ Ami du danger». Et enfin, il a conclu sur un acrostiche tout à fait nouveau qui a le plus plu manifestement au public, en l’occurrence «Ton sourire est plus beau que le drapeau national» où l’on peut lire «…Ton sourire plus doux/ Que le printemps/ Que toutes les saisons/ Ton sourire plus joli/ Que les menées des masses/ Plus radieux que le peuple en rébellion…».