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Le grand artiste gnaoui sera à l’honneur ce mercredi à Rabat où il recevra le Trophée Al Farabi pour la musique antique en reconnaissance de son talent et de sa contribution dans le rayonnement du "Blues gnaoui africain". Et ce, à l’occasion de « La Nuit du Prix Al Farabi », un événement qui célèbre cette année cet immense artiste issue du métissage des cultures arabo-berbères et africaines.
S’il a appris le oud et la guitare classique au Conservatoire national de musique et danse à Rabat, c’est auprès de son maître Ba Houmane que Majid Bekkas s’initie à l’art gnaoua. Avant de devenir le virtuose qu’il est aujourd’hui. Et d’oser des fusions que d’aucuns imaginaient improbables et qui lui valent désormais respect et considération.
En effet, celui qu’on surnomme le « magicien des rencontres » est resté ouvert sur les musiques du monde notamment le blues afro-américain qu’il a su, et avec dextérité, allier à la musique gnaouie. Sans jamais toutefois nier ses racines ou encore pervertir l’authenticité d’un genre qui a bercé son enfance.
L’hommage sera rendu à l’auteur, compositeur, musicien et interprète lors d’une soirée organisée conjointement par le Comité national de la musique et le Théâtre National Mohammed V.








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