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L’intelligence artificielle et la démocratie participative au cœur du nouveau numéro de la REIEJP
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Pr Mohamed Knidiri : Le FNAP est l’affirmation de notre identité, de notre culture et de la force de leur profondeur historique
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1ère édition des Rencontres méditerranéennes de Tanger
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Sous les étoiles de la Tanger Fashion week : Luke Evans, Chopard, Vivienne Westwood, une nuit étincelante pour la Fondation Lalla Asmaa
Cette œuvre illustrée de 256 pages, est un regard dit intime du photographe, mettant en lumière les richesses et l’histoire de la région et de ses monuments historiques notamment Le Chellah, les Oudayas et Ribat Al Fath. Ces photographies sont accompagnées de textes d’auteurs de divers horizons et différentes nationalités, à savoir Mahmoud Darwich, Zulîkha Abou Rîcha, Ibrahim Abdel Majid, Nicole Barrière, Mohamed Al Rumaihi, Lotfia Dlimi, Rose Boileau, Bahaa Trabelsi, Giuseppe Conte, Zhao Si, Victor Alfonso Maldonado, Hélène Stafford, Françoise Lalande, Moncef Wahaibi, Guy Bennett et Carène Wood pour ne citer que quelques uns.
Michel Nachef est un photographe né au Liban en 1936. Il a vécu au Maroc durant 50 ans. Sa carrière est basée sur la conservation du patrimoine architectural et humain. Il commença alors une œuvre sur la culture populaire des années 80, en photographiant plusieurs moussems dans diverses régions du Maroc, offrant aux regards une liberté opposée aux stéréotypes occidentaux, sur la considération du corps et des célébrations. Influencé ainsi par la photographie américaine, Michel Nachef déploie une vision emphatique de son pays d’adoption recherchant dans l’authentique, le moyen de sublimer les sens du sujet marocain
Littérature
Ce livre de 396 pages, raconte les événements de la nuit du 29 février 1960, troisième nuit du Ramadan, qui ont changé à jamais le visage d'Agadir, une ville où le soleil brillait 365 jours par an. Douze secondes ont suffi pour effacer une ville entière et engloutir une grande partie de ses habitants. Entre douze et quinze mille êtres ont succombé. Vingt mille autres sont restés sans toit. Soixante ans plus tard, la terre tremble encore dans le cœur des rescapés.
Orna Baziz, née Régine Riboh, à Agadir, au Maroc, vit actuellement à Jérusalem où elle enseigna l’hébreu (langue et littérature) à l’Académie des lettres. Auteure de nombreux articles en littérature, cultures et civilisations, elle publie six livres : La révolte chez Élie Wiesel et chez Albert Camus, Les vases ne pourront jamais contenir l’abondance, La femme dans l’œuvre de David Shahar, Pêché et repentir, Maximes des Pères et Hagadat Agadir, récit d’une ville brisée.