-
Clôture à Agadir du 2ème Festival national des jeunes chorégraphes
-
Installations immersives, IA et art génératif au programme de la 31ème édition du FIAV
-
Tomber de rideau sur le 1er Festival international des cultures de Casablanca
-
La Fondation nationale des musées rend hommage au professeur d'anthropologie Ali Amahan
Au menu de cette soirée, organisée par la Société nationale de radiodiffusion et télévision (SNRT), en collaboration avec le Théâtre Mohammed V et la Fondation de la Caisse de dépôt et de gestion (CDG), figurait, notamment, une rétrospective de chants, rythmes et danses de Aita, animée par des chioukhs et groupes de renom sur la scène artistique marocaine.
Intervenant à cette occasion, l'écrivain Hassan Nejmi a souligné qu'à travers cet hommage à Kharbouaa, c'est tout le patrimoine musical national, la mémoire populaire et l'histoire et l'identité marocaines qui sont réhabilités, appelant à la préservation et à la promotion de ce legs populaire qui constitue un capital symbolique et un pilier du label culturel national. M. Nejmi a également salué en Kharbouaa "une icône de la culture populaire orale et une figure rayonnante de la tribu des Zaër qui a marqué de ses empreintes la belle époque", la qualifiant de "mémoire vivante du patrimoine musical national, notamment la Aita Zaaria". Le moment fort de cette soirée a été la montée sur scène de Khabouaa, qui s'est permis un bain de foule émouvant et nostalgique. Devant tout l'amour et la reconnaissance qu'elle a reçus, l'artiste marocaine n'a eu que des mots de remerciement qu'elle a adressés timidement à l'assistance et aux initiateurs de cet hommage.
Pour sa part, le directeur délégué de la Fondation CDG, M'hammed Grine, a mis en relief les contributions artistiques de Kharbouaa et l'esprit de reconnaissance que reflète cette cérémonie, avant de remettre une récompense à l'artiste.








Clôture à Agadir du 2ème Festival national des jeunes chorégraphes
