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Région Béni-Mellal-Khénifra: signature d’une convention de partenariat pour la collecte de données sur les ménages
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M’diq: Salon des femmes rurales pour encourager les initiatives économiques
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Le 59ème Salon international de la rose à parfum, du 3 au 6 mai à Kelâat M’Gouna
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Benguérir: session de formation dans le domaine de la mobilité électrique
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Guercif: 1.800 élèves bénéficient d'informations et d'orientations post-baccalauréat
Comme le soleil tapait fort ces derniers jours et que l’eau n’est pas loin et donc à la portée de tous, les enfants ont été les premières victimes, laissant des parents traumatisés et ne sachant à quel saint se vouer. A qui incombe, alors, la responsabilité ? Comment comprenons-nous cette indifférence dont les responsables font preuve? Ne devrait-on pas tirer les bonnes leçons des événements similaires ? Questions auxquelles doivent penser les responsables de tous bords. A moins d’afficher la volonté de laisser de telles questions sans réponse. Alors ayons pitié de ces gens : ils ont assez payé !
Youssef B. (10 ans) et sa sœur Nadia (12 ans), Ayoub B. (12 ans), Rachid B. (15 ans) et son frère Hicham (12 ans), ne constituent-ils pas un lourd tribut? Ces jolis prénoms, à eux seuls, illustrent à quel point les parents doivent être frappés de plein fouet. Seuls la patience et l’oubli parviendraient à faire sécher les larmes des parents. L’on doit aussi rassurer les autres dont l’inquiétude grandit en l’absence de mesures de sécurité surtout le long du grand canal, au bord des retenues d’eau à travers le territoire de la province de Sidi Bennour.
Voilà un problème sur lequel les autorités provinciales doivent se pencher de toute urgence. N’est-il pas temps de récupérer la piscine de la ville et d’épargner des vies humaines à Sidi Bennour.