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SAR la Princesse Lalla Hasnaa offre à Bakou une cérémonie de thé en l’honneur de personnalités féminines azerbaïdjanaises du monde de la culture et des arts
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Tenue à Dakhla de la 2ème édition du Colloque sur la pédagogie de la culture hassanie
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Colloque africain sur les mutations intellectuelles et le développement à Laâyoune
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L’hommage de la SNRT à des pionniers des ondes : Pour relier le passé éternel au présent revivifié
D’une durée de 104 minutes, le film qui reprend à son compte un mythe et dont les premiers rôles ont été interprétés par Majdouline Idrissi, Saadia Ladib et Driss Roukh, présente dans un style complexe l’histoire d’une psychiatre qui devait faire parler Rihana qui a longtemps vécu en tant que garçon appelé Mehdi.
La jeune Rihana croit, dur comme fer, qu’elle est enceinte d’un saint imaginaire et se trouve vers la fin exposée à un destin peu enviable. La mise en scène entend expérimenter les contes, l’imaginaire, les croyances populaires, le tout avec une expression prégnante et un penchant artistique nouveau pour un film marocain.
Bien avant « Pégase », Mohamed Mouftakir avait réalisé quatre courts-métrages: « Chant funèbre», « Danse du fœtus», « L’ombre de la mort » et « Fin de mois », souvent distingués lors des rencontres nationales.
Le grand public avait par la suite visionné en plein air le film «Arizona dream » d’Emir Kusturica qui a permis aux férus du 7ème Art d’apprécier, plus de deux heures, l’histoire d’un homme heureux vivant à New York qui verra sa vie changer complètement, une fois en Arizona pour servir de témoin au nouveau mariage de son oncle Léo.
Dimanche soir, le festival a rendu un vibrant hommage à la comédienne marocaine Fatima Regragui, pour les moments de bonheur qu’elle a offerts au public marocain sur les planches comme au cinéma.