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La Fondation jordanienne Abdul Hameed Shoman a projeté, mardi soir sur son site web, le long métrage “Walwalat al rouh” (Cri de l’âme) du réalisateur marocain Abdelilah Jouhary. Le film est une vision cinématographique qui mêle l’héritage musical folklorique (l’art de l’Aita) ancré dans la société marocaine, aux contes relatant une période de l’histoire du Maroc durant les années 70 du dernier siècle. Interprété par Mohammed Razine, Saida Baâdi, Jihane Kamal Hassan Badida, Abdenebi El Benioui, Abdelhak Belmoujahid, Salah Dizane et Youssef Belarabi, le film raconte l’histoire de Driss, un jeune officier qui a abandonné ses études en philosophie à Rabat pour rejoindre la police, vu ses conditions sociales difficiles.
Pour le critique de cinéma jordanien Adnan Madanat, ce long métrage a réussi à mêler la réalité au patrimoine populaire marocain, notant que les chansons incluses dans la majorité des scènes ont reflété l’état d’esprit des personnages. “Le film présente un mélange dramatique distinctif qui combine romance et histoire pour relater une période de l’histoire du Maroc contemporain et célébrer l’art de l’Aita”, a-t-il relevé.
“Walwalat al rouh” a remporté le prix du meilleur réalisateur au Festival du film de La Haye et deux prix au Festival du cinéma méditerranéen d’Alexandrie.
La Fondation Abdul Hameed Shoman s’intéresse à la créativité culturelle et sociale pour contribuer au progrès des sociétés dans le monde arabe dans les domaines de la littérature, des arts et de l’innovation.
Pour le critique de cinéma jordanien Adnan Madanat, ce long métrage a réussi à mêler la réalité au patrimoine populaire marocain, notant que les chansons incluses dans la majorité des scènes ont reflété l’état d’esprit des personnages. “Le film présente un mélange dramatique distinctif qui combine romance et histoire pour relater une période de l’histoire du Maroc contemporain et célébrer l’art de l’Aita”, a-t-il relevé.
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