Autres articles
-
Un Festival de Cannes sous le signe des parrains d'Hollywood, d'hier et de demain
-
Vernissage à Istanbul d'une exposition mettant en lumière la calligraphie marocaine
-
Ecrire. Marguerite Duras
-
Le film "D’Abdul à Leïla" décroche le GP du Festival du cinéma méditerranéen de Tétouan
-
Les oeuvres de l'artiste marocaine Aidan Marak sous les feux de la rampe à New York
Arrivée deuxième au Goncourt, Virginie Despentes va pouvoir se consoler avec le prix Renaudot, décerné récemment. Elle était là encore en concurrence avec Michel Houellebecq mais aussi avec le premier livre autoédité et vendu sur internet de l’histoire des prix littéraires français : L’homme qui arrêta d’écrire du provocateur écrivain Marc-Edouard Nabe.
Son livre, “Apocalypse bébé”, attendu depuis quatre ans, est un thriller décalé, un “road-book” entre Paris et Barcelone, dont la narratrice est une de ces “looseuses” chères à la romancière. Près de quarante ans, mal payée et mal dans sa peau, Lucie est employée par une agence de détectives privés. Un jour, une adolescente qu’elle surveille - c’est sa spécialité - disparaît. Pour retrouver la jeune Valentine, elle demande l’aide d’une baroudeuse, “La Hyène”, homosexuelle et passablement diabolique. D’autres personnages atypiques croisent sa route et composent le portrait d’une époque égarée. Virginie Despentes était vendeuse au rayon librairie d’un Virgin Megastore à Paris lorsque paraît en 1993 son premier roman au titre et au contenu .
Son livre, “Apocalypse bébé”, attendu depuis quatre ans, est un thriller décalé, un “road-book” entre Paris et Barcelone, dont la narratrice est une de ces “looseuses” chères à la romancière. Près de quarante ans, mal payée et mal dans sa peau, Lucie est employée par une agence de détectives privés. Un jour, une adolescente qu’elle surveille - c’est sa spécialité - disparaît. Pour retrouver la jeune Valentine, elle demande l’aide d’une baroudeuse, “La Hyène”, homosexuelle et passablement diabolique. D’autres personnages atypiques croisent sa route et composent le portrait d’une époque égarée. Virginie Despentes était vendeuse au rayon librairie d’un Virgin Megastore à Paris lorsque paraît en 1993 son premier roman au titre et au contenu .