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Le premier prix étant revenu au critique soudanais Mohamed Abderrahman pour son étude “Les espaces de la pluralité et de la différence dans la peinture arabe moderne”, et le troisième à la chercheuse tunisienne Selwa Elaaydi pour son étude “Les lettres comme appartenance, les références esthétiques et visuelles des travaux de Mahjoub Ben Bella dans les années 80”.
Le Prix Charika “est une occasion pour créer une dynamique sur la scène artistique arabe s’appuyant notamment sur l’activation et le développement des outils de la critique d’art et d’esthétique dans les pays arabes”, a indiqué El Hissen.
Il a ajouté qu’il considère l’obtention de ce Prix, qu’il dédie à tous les peintres marocains, comme une motivation qui le poussera à fournir plus d’effort pour hisser davantage le niveau de ses recherches, saluant par là même la neutralité absolue des membres du jury vis-à-vis des candidatures qu’ils ont examiné et révisé.
Ibrahim El Hissen avait déjà remporté ce prix académique en 2009, lors de son deuxième tour, pour son étude critique “Les illusions de la modernité dans la peinture marocaine”. Il compte dans ses annales plusieurs ouvrages ayant trait à la culture populaire et le patrimoine Ethnographique Hassani.