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"Nous avons enregistré vingt dossiers complets de candidature à l'élection présidentielle du 23 décembre", a déclaré à l'AFP Corneille Nangaa, président de la Commission électorale indépendante (Céni).
"Trois dossiers étaient en attente puisqu'il manquait des preuves de paiement de la caution de 100.000 dollars", a-t-il ajouté, indiquant que "jusque minuit, certains candidats étaient encore à l'étape de la banque".
"Un seul dossier de candidature féminine a été enregistré", a indiqué M. Nangaa, promettant que la Céni donnerait la liste définitive des dossiers enregistrés dans la journée.
Au dernier jour de dépôt de candidature, le président Kabila a choisi l'ancien ministre de l'Intérieur et secrétaire permanent du parti présidentiel (PPRD) Emmanuel Ramazani Shadary comme candidat de la majorité à la présidentielle.
Parmi les adversaires du camp présidentiel des ténors ont fait acte de candidature comme l'ancien vice-président et ex-chef de guerre Jean-Pierre Bemba acquitté par la CPI le 8 juin. Rentré en Belgique, M. Bemba attend encore le verdict de la CPI dans une affaire annexe.
Deux anciens Premiers ministres Adolphe Muzito et Samy Badibanga, l'ancien président de l'Assemblée nationale Vital Kamerhe et le chef de l'UDPS Félix Tshisekedi sont aussi candidats.
Au pouvoir depuis 2001, élu en 2006, réélu dans la contestation en 2011, M. Kabila est écarté de la course à la présidentielle après avoir accompli ses deux mandats constitutionnels.
La RD Congo, un des pays les plus pauvres d'Afrique malgré ses ressources, n'a jamais connu de passation pacifique de pouvoir depuis son indépendance de la Belgique le 30 juin 1960.








