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L’Association Tahmident a permis récemment aux passionnés du livre et de la littérature de rencontrer le jeune écrivain Omar Alaoui, qui vient de publier son premier recueil de nouvelles en langue arabe intitulé « Pain de Dieu » (Khoubz Allah).
Nombreuses étaient les personnes qui ont assisté à cette rencontre, littéraire et culturelle. Sur invitation par curiosité, les assistants ont eu le plaisir de découvrir non seulement l’auteur et son œuvre, mais aussi la joie d’écouter de jeunes talents de la critique et de la lecture des œuvres d’esprit.
En réaction au contenu comme à la forme du recueil, plusieurs potentialités littéraires locales, dont Aaboub Ahmed, Aboud Omar, Lahcen Naciri, Addi Ramchoun et Fathi Abdelbaki, ont pris la parole. La lecture a ainsi été plurielle, riche et variée. Tous les intervenants ont mis l’accent sur l’originalité de l’œuvre et sa particularité littéraire. Il s’agit d’une œuvre qui se distingue essentiellement par sa composition, un recueil qui comporte des textes de différentes dimensions : du texte plus au moins long au fragment. L’écriture devient un travail sur la forme, de par son élan transgressif, et sa rébellion au niveau esthétique. Une œuvre avant-gardiste où les règles héritées de l’écriture du récit bref, où les éléments narratifs longuement reconnus à savoir l’intrigue, le personnage, l’ancrage spatio-temporel et le personnage se voient ignorés, dépassés voire périmés pour reprendre une parole du grand Alain Robbe-Grillet commentant l’événement du nouveau roman.
En s’inscrivant dans le sillage de l’écriture qui se cherche, c'est-à-dire de l’expérimental, Omar Alaoui qui a annoncé à cette occasion sa prochaine publication « Aphorismes », et étant membre du groupe « Collisium », nie toute filiation au genre de la nouvelle. L’originalité de cette œuvre, soulignent les intervenants, est à déceler aussi au niveau du pôle thématique. Omar Aloui, avec un ton, parfois satirique, revisite des scènes de la vie quotidienne, des sujets relevant de la philosophie, de la religion, de la mythologie…Bref les pôles esthétique et idéologique de l’œuvre décevraient certainement les attentes du lecteur.
Nombreuses étaient les personnes qui ont assisté à cette rencontre, littéraire et culturelle. Sur invitation par curiosité, les assistants ont eu le plaisir de découvrir non seulement l’auteur et son œuvre, mais aussi la joie d’écouter de jeunes talents de la critique et de la lecture des œuvres d’esprit.
En réaction au contenu comme à la forme du recueil, plusieurs potentialités littéraires locales, dont Aaboub Ahmed, Aboud Omar, Lahcen Naciri, Addi Ramchoun et Fathi Abdelbaki, ont pris la parole. La lecture a ainsi été plurielle, riche et variée. Tous les intervenants ont mis l’accent sur l’originalité de l’œuvre et sa particularité littéraire. Il s’agit d’une œuvre qui se distingue essentiellement par sa composition, un recueil qui comporte des textes de différentes dimensions : du texte plus au moins long au fragment. L’écriture devient un travail sur la forme, de par son élan transgressif, et sa rébellion au niveau esthétique. Une œuvre avant-gardiste où les règles héritées de l’écriture du récit bref, où les éléments narratifs longuement reconnus à savoir l’intrigue, le personnage, l’ancrage spatio-temporel et le personnage se voient ignorés, dépassés voire périmés pour reprendre une parole du grand Alain Robbe-Grillet commentant l’événement du nouveau roman.
En s’inscrivant dans le sillage de l’écriture qui se cherche, c'est-à-dire de l’expérimental, Omar Alaoui qui a annoncé à cette occasion sa prochaine publication « Aphorismes », et étant membre du groupe « Collisium », nie toute filiation au genre de la nouvelle. L’originalité de cette œuvre, soulignent les intervenants, est à déceler aussi au niveau du pôle thématique. Omar Aloui, avec un ton, parfois satirique, revisite des scènes de la vie quotidienne, des sujets relevant de la philosophie, de la religion, de la mythologie…Bref les pôles esthétique et idéologique de l’œuvre décevraient certainement les attentes du lecteur.