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L'espace socioculturel "Dar Souiri" à la Cité des Alizés accueillera, samedi 31 mai, un spectacle de théâtre inédit intitulé "Premiers pas sur scène", organisé à l'initiative de l’Association Essaouira-Mogador.
"Ce rendez-vous artistique marque la première apparition sur scène des élèves comédiens d’un atelier mené avec passion par Marie Borowski, comédienne professionnelle", indiquent les organisateurs dans un communiqué.
Grâce à l’appui de l’Association Essaouira-Mogador, cette initiative culturelle, portée par l’intelligence du cœur et le sens du partage, a vu le jour à la Perle de l'Atlantique, ville d’inspiration et de rencontres, incarnant pleinement cette exception marocaine que représente la Cité des Alizés, un lieu où les cultures dialoguent, se nourrissent et s’élèvent ensemble, précise la même source.
"Chaque semaine, Souiris de naissance ou de cœur se réunissent dans un esprit d’écoute et de création, pour explorer les multiples facettes du théâtre. Ensemble, ils font de cet espace un lieu de transformation, d’émotion et d’échange, fidèle à l’âme de notre ville", relèvent les organisateurs.
"Les participants bénéficient gratuitement de ces ateliers, proposés bénévolement par Marie Borowski, artiste de théâtre, de télévision et de cinéma, qui a joué aux côtés de Michel Serrault, Josiane Balasko ou encore Chevallier et Laspalès, et qui consacre, depuis son installation à Essaouira en 2023, son temps et son énergie à la transmission, fidèle à sa vocation de comédienne et de pédagogue", souligne la même source.
Et de faire savoir que le spectacle offre une série de scènes aussi variées qu’inspirées, entre humour, poésie et émotion, mêlant des textes d’auteurs classiques et contemporains, comme Victor Hugo, Feydeau, Shakespeare, Catherine Blanchard et Jean-Michel Ribes, figure majeure du théâtre français, dont l’univers singulier et décalé vient enrichir cette mosaïque théâtrale.
Le tout est ponctué par des intermèdes musicaux live avec David Camara Gninkita (guitare et chant) et Jak Loyson (basse), poursuit le communiqué, avant de conclure que "dans un souci d’authenticité, les comédiens joueront sans micro et invitent le public à respecter le silence, devenu ici partie prenante du décor".
"Ce rendez-vous artistique marque la première apparition sur scène des élèves comédiens d’un atelier mené avec passion par Marie Borowski, comédienne professionnelle", indiquent les organisateurs dans un communiqué.
Grâce à l’appui de l’Association Essaouira-Mogador, cette initiative culturelle, portée par l’intelligence du cœur et le sens du partage, a vu le jour à la Perle de l'Atlantique, ville d’inspiration et de rencontres, incarnant pleinement cette exception marocaine que représente la Cité des Alizés, un lieu où les cultures dialoguent, se nourrissent et s’élèvent ensemble, précise la même source.
"Chaque semaine, Souiris de naissance ou de cœur se réunissent dans un esprit d’écoute et de création, pour explorer les multiples facettes du théâtre. Ensemble, ils font de cet espace un lieu de transformation, d’émotion et d’échange, fidèle à l’âme de notre ville", relèvent les organisateurs.
"Les participants bénéficient gratuitement de ces ateliers, proposés bénévolement par Marie Borowski, artiste de théâtre, de télévision et de cinéma, qui a joué aux côtés de Michel Serrault, Josiane Balasko ou encore Chevallier et Laspalès, et qui consacre, depuis son installation à Essaouira en 2023, son temps et son énergie à la transmission, fidèle à sa vocation de comédienne et de pédagogue", souligne la même source.
Et de faire savoir que le spectacle offre une série de scènes aussi variées qu’inspirées, entre humour, poésie et émotion, mêlant des textes d’auteurs classiques et contemporains, comme Victor Hugo, Feydeau, Shakespeare, Catherine Blanchard et Jean-Michel Ribes, figure majeure du théâtre français, dont l’univers singulier et décalé vient enrichir cette mosaïque théâtrale.
Le tout est ponctué par des intermèdes musicaux live avec David Camara Gninkita (guitare et chant) et Jak Loyson (basse), poursuit le communiqué, avant de conclure que "dans un souci d’authenticité, les comédiens joueront sans micro et invitent le public à respecter le silence, devenu ici partie prenante du décor".
Bouillon de culture
Exposition
L’exposition "Dar El Bacha 1447" de l’artiste Hassan Hajjaj, dont le vernissage a eu lieu, samedi au Musée des Confluences "Dar El Bacha" à Marrakech, se veut une invitation à une exploration profonde des réflexions sur le temps, la mémoire et le processus créatif de cet artiste, en magnifiant l'audace esthétique du pop art marocain.
Organisée par la Fondation Nationale des Musées (FNM), cette exposition qui se poursuivra jusqu’au 12 octobre prochain, est une véritable immersion dans l'univers foisonnant de cet artiste de renommée, en levant le voile sur plusieurs de ses créations inédites.
Fidèle à son style singulier, Hajjaj offre ainsi une exposition manifeste, où se côtoient mémoire personnelle et esthétique collective, en proposant "un contre-temps culturel et spirituel, une respiration parallèle à notre calendrier occidental".
L'exposition, profondément ancrée dans la double appartenance de l'artiste entre Londres et Marrakech, rassemble des créations issues de deux décennies de pratique, présentées à travers un regard singulier et poétique sur le processus artistique.
Assemblées selon une grammaire visuelle faite de couleurs vives, de motifs populaires et de références croisées, les œuvres composent une archive vivante de son monde, entre street art, mode, amitiés, souvenirs et expérimentations. "Dar El Bacha 1447" est aussi une célébration de l’inachevé, de l’entre-deux, de ces moments souvent mis de côté, mais où réside, pour Hassan Hajjaj, toute la richesse du geste créatif.
L’exposition "Dar El Bacha 1447" de l’artiste Hassan Hajjaj, dont le vernissage a eu lieu, samedi au Musée des Confluences "Dar El Bacha" à Marrakech, se veut une invitation à une exploration profonde des réflexions sur le temps, la mémoire et le processus créatif de cet artiste, en magnifiant l'audace esthétique du pop art marocain.
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Fidèle à son style singulier, Hajjaj offre ainsi une exposition manifeste, où se côtoient mémoire personnelle et esthétique collective, en proposant "un contre-temps culturel et spirituel, une respiration parallèle à notre calendrier occidental".
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Assemblées selon une grammaire visuelle faite de couleurs vives, de motifs populaires et de références croisées, les œuvres composent une archive vivante de son monde, entre street art, mode, amitiés, souvenirs et expérimentations. "Dar El Bacha 1447" est aussi une célébration de l’inachevé, de l’entre-deux, de ces moments souvent mis de côté, mais où réside, pour Hassan Hajjaj, toute la richesse du geste créatif.