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La pièce de théâtre "Lalla Ghzala", de la troupe "Warchat Ibdaâ Drama" (Atelier de création drama), a été présentée mercredi, dans le cadre de la 11e édition du Festival international du théâtre de Marrakech.
Cette pièce de théâtre écrite par le scénariste et auteur Boubker Fahmi, plonge le spectateur au cœur des réalités de la vie quotidienne à travers l’histoire d’un archéologue découvrant une gravure mystérieuse représentant une gazelle sur un site abandonné.
Cette découverte survient à un moment charnière, à savoir le dernier jour de sa mission avant qu’il ne parte demander une prolongation de sa période de fouilles. Entre son départ et son retour, les événements prennent une tournure dramatique, conférant à la pièce une tension narrative captivante et riche en rebondissements.
La représentation a suscité un large engouement du public, qui a exprimé son admiration pour la performance et le professionnalisme des comédiens sur scène.
Dans une déclaration à la MAP, Mohamed Belmokadem, président de la section de Marrakech du Syndicat marocain des professionnels de l'art dramatique, s’est réjoui du retour du festival après plus de huit ans d'arrêt, précisant que cette édition est consacrée exclusivement aux troupes locales, qui ont présenté leurs spectacles dans différentes salles de la ville.
Dans ce contexte, il a souligné que "la forte affluence du public traduit un grand attachement au théâtre en tant qu'art et moyen d’expression noble", relevant que cet événement est de nature à enrichir la scène artistique locale et consacrer la position de Marrakech en tant que pôle de création et de dialogue culturel.
Organisée par la section locale du Syndicat marocain des professionnels de l'art dramatique, en partenariat avec le Conseil communal, sous l'égide du ministère de la Jeunesse, de la Culture et de la Communication, cette 11ème édition comporte des rencontres intellectuelles, des ateliers de formation et des hommages à des figures marquantes de la scène théâtrale nationale.
Cette pièce de théâtre écrite par le scénariste et auteur Boubker Fahmi, plonge le spectateur au cœur des réalités de la vie quotidienne à travers l’histoire d’un archéologue découvrant une gravure mystérieuse représentant une gazelle sur un site abandonné.
Cette découverte survient à un moment charnière, à savoir le dernier jour de sa mission avant qu’il ne parte demander une prolongation de sa période de fouilles. Entre son départ et son retour, les événements prennent une tournure dramatique, conférant à la pièce une tension narrative captivante et riche en rebondissements.
La représentation a suscité un large engouement du public, qui a exprimé son admiration pour la performance et le professionnalisme des comédiens sur scène.
Dans une déclaration à la MAP, Mohamed Belmokadem, président de la section de Marrakech du Syndicat marocain des professionnels de l'art dramatique, s’est réjoui du retour du festival après plus de huit ans d'arrêt, précisant que cette édition est consacrée exclusivement aux troupes locales, qui ont présenté leurs spectacles dans différentes salles de la ville.
Dans ce contexte, il a souligné que "la forte affluence du public traduit un grand attachement au théâtre en tant qu'art et moyen d’expression noble", relevant que cet événement est de nature à enrichir la scène artistique locale et consacrer la position de Marrakech en tant que pôle de création et de dialogue culturel.
Organisée par la section locale du Syndicat marocain des professionnels de l'art dramatique, en partenariat avec le Conseil communal, sous l'égide du ministère de la Jeunesse, de la Culture et de la Communication, cette 11ème édition comporte des rencontres intellectuelles, des ateliers de formation et des hommages à des figures marquantes de la scène théâtrale nationale.
Bouillon de culture
INSMAC
L'Institut national supérieur de musique et des arts chorégraphiques (INSMAC) sera ouvert à compter de la rentrée universitaire 2025-2026, a annoncé le ministère de la Jeunesse, de la Culture et de la Communication, et ce dans le cadre de sa stratégie de développement de l’enseignement artistique, de promotion de la créativité et de soutien aux industries culturelles et créatives.
Etabli sur une superficie de plus de 9000 m², au cœur de la capitale, à proximité immédiate du Théâtre Mohammed V de Rabat, l’INSMAC constitue la première institution universitaire de ce type au Maroc, a indiqué un communiqué du ministère, notant qu'il ambitionne de devenir un pôle d’excellence en matière de formation académique et de recherche dans les domaines de la musique et des arts chorégraphiques.
Ce nouvel établissement qui s’inscrit pleinement dans la dynamique nationale de valorisation de l’enseignement artistique, a pour objectif de former une nouvelle génération d’artistes, de pédagogues et de professionnels créatifs, aptes à répondre aux exigences du marché culturel, tant au niveau national qu’international.
Il délivre des diplômes selon le système LMD (Licence, Master, Doctorat) et offre des enseignements à la fois pratiques et théoriques : cours techniques pour les musiciens et chorégraphes, matières transversales, ainsi qu’une formation générale ouverte sur les enjeux contemporains du secteur culturel, relève la même source.
Les inscriptions débuteront après les résultats du baccalauréat de juillet 2025.
L'Institut national supérieur de musique et des arts chorégraphiques (INSMAC) sera ouvert à compter de la rentrée universitaire 2025-2026, a annoncé le ministère de la Jeunesse, de la Culture et de la Communication, et ce dans le cadre de sa stratégie de développement de l’enseignement artistique, de promotion de la créativité et de soutien aux industries culturelles et créatives.
Etabli sur une superficie de plus de 9000 m², au cœur de la capitale, à proximité immédiate du Théâtre Mohammed V de Rabat, l’INSMAC constitue la première institution universitaire de ce type au Maroc, a indiqué un communiqué du ministère, notant qu'il ambitionne de devenir un pôle d’excellence en matière de formation académique et de recherche dans les domaines de la musique et des arts chorégraphiques.
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