-
Un colloque international sur le "Dialogue des cultures et des civilisations" à Fès
-
Ernest Urtasun : L'Espagne devrait boycotter l'Eurovision si Israël y participe
-
Lancement de la 23ème édition du Grand prix national de la presse
-
Appel à la valorisation du patrimoine architectural et de la mémoire de la ville d’Azemmour
Plus loin, Jack Slater, 24 ans, attendait le spectacle avec sérénité: "C'est une très grande partie de mon enfance, j'ai eu peur que ça soit complètement différent du reste et que ça ruine tout, mais finalement je ne pense pas". Les représentations qui suivront la soirée de gala de samedi affichent complet, mais 250.000 billets supplémentaires doivent être mis en vente la semaine prochaine, et le spectacle doit se jouer jusqu'à décembre 2017. Le texte de la pièce devait être mis en vente samedi à minuit (23h00 GMT) au Royaume-Uni. Il l'a été dimanche aux Etats-Unis et le sera 14 octobre en France. Avant l'heure tant attendue, des centaines de fans, dont certains déguisés en Harry Potter, faisaient la queue sur Piccadilly, ralentissant la circulation.
Divisé en deux représentations d'environ 2 heures 30 chacune, le spectacle se déroule dix-neuf ans après les événements relatés dans "Harry Potter et les Reliques de la Mort", septième et dernier livre de la saga forgée par J. K. Rowling, paru en 2007.
Le show, avec le comédien Jamie Parker dans le rôle de Harry Potter, a été rodé par près de huit semaines de répétitions publiques à Londres. Les critiques, très favorables, ont confirmé que la pièce se dirigeait tout droit vers un succès commercial.
Si les lecteurs étaient restés sur un adolescent tourmenté par son passé et son combat contre le redoutable Lord Voldemort, alias Celui-Dont-On-Ne-Doit-Pas-Prononcer-Le-Nom, ils découvriront dans cette pièce, co-écrite par J. K. Rowling avec le dramaturge Jack Thorne et le metteur en scène John Tiffany, un Harry Potter marié et père de famille.