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L'image de la famille unie renvoyée le 9 décembre lors des funérailles de "Johnny" sur le parvis de l'Eglise de la Madeleine à Paris n'est, trois mois plus tard, qu'un lointain souvenir. C'est Laura Smet qui a lancé l'offensive judiciaire dans une lettre transmise le 12 février à l'AFP. "J'ai choisi de me battre", confiait alors la fille de l'actrice Nathalie Baye, rejointe dans sa démarche par son demi-frère David, fils de la chanteuse Sylvie Vartan.
Les deux aînés ont déposé un recours sur le fond devant la justice française pour contester les modalités de succession de leur père, rédigées en Californie. Ils estiment que son testament les "déshérite", ce qui est interdit en droit français, et demandent "que la succession soit soumise aux règles de dévolution légales" en France. Aucune date n'a pour l'instant été fixée pour l'examen de ce volet de l'affaire, qui pourrait prendre des mois, voire des années. En attendant, Laura Smet et David Hallyday ont également saisi en référé (procédure d'urgence) le tribunal de grande instance de Nanterre, près de Paris, afin de "pouvoir se prononcer" sur un projet d'album posthume de Johnny Hallyday actuellement en préparation, selon l'assignation qui doit être débattue jeudi. Ils donnent à Laeticia Hallyday "un délai de 48 heures" pour accéder à cette demande et réclament une "astreinte de 10.000 euros par jour de retard" en cas de non-respect de leur souhait.