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Tout en indiquant que ce projet de loi s’inscrit dans un contexte national marqué par nombre de régressions au niveau politique, Larbi Habchi a souligné que ce projet ne répond nullement aux aspirations et attentes et des employés et des salariés du fait qu’il est dominé par un discours technocrate manquant de vision politique claire.
Les membres du Groupe fédéral de l’unité et de la démocratie voteront contre l’actuel projet de loi de Finances présenté à la Chambre des conseillers, par Salaheddine Mezouar, ministre de l’Economie et des Finances, du fait qu’il n’a pas été élaboré sur des prévisions et données réelles et solides, mais a été basé uniquement sur des hypothèses ( Bonne campagne agricole, prix d’un baril de pétrole à 75 dollars, stabilité des dépenses de fonctionnement au même niveau de 2009, entre autres), a-t-il fait savoir.
Et d’avancer un autre motif pour le rejet de ce projet de loi à cause de l’absence d’une vision sociale dans sa dimension globale de la part du gouvernement qui opte pour des politiques sectorielles improvisées, faute de cohésion. Il est à rappeler que l’échec du dialogue social entre les différentes centrales et le gouvernement qui s’entête à satisfaire leurs revendications (augmentation des salaires, réductions des charges sociales, entre autres), est une autre raison pour voter contre ce projet, a conclu Larbi Habchi.