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Dans un contexte marqué par la détérioration du pouvoir d’achat, la FDT est appelée à revenir en force sur la scène syndicale
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L'alliance stratégique entre le Maroc et les Etats-Unis célébrée à Washington
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Une délégation parlementaire marocaine réitère à Istanbul la position constante du Royaume concernant la justesse de la cause palestinienne
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AG de l'ONU: Le Mouvement des non-alignés réaffirme son appréciation des efforts de SM le Roi pour défendre la cause palestinienne
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La pertinence du plan d'autonomie marocain mise en avant au Parlement britannique
Auparavant, le procureur général avait demandé lors de la séance du 25 mai le rejet de tous les arguments avancés par la défense, expliquant que les autorités britanniques avaient présenté une procédure de livraison de l'accusé, qui est une procédure qui fait partie des compétences de la Cour Suprême. Les autorités britanniques avaient demandé l'extradition d’Ibrahim Murray Lee pour son implication présumée dans le braquage, en février 2006, d'une entreprise de transport de fonds au Kent (Sud-Est de l'Angleterre), au cours duquel une somme de 53 millions de livres sterling a été subtilisée. A rappeler que la Chambre criminelle (2e degré) près l'annexe de la Cour d'appel à Salé avait confirmé la peine de 8 mois de prison ferme prononcé, en premier degré, contre Lee Lamrani Ibrahim Murray et Paul Allan, citoyen britannique extradé en Grande Bretagne en mai 2007.
Ils ont également été condamnés à verser une amende de 10.000 dirhams chacun et d'une amende collective de 303.100 dirhams au profit du service des douanes marocaines.