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Jazouli et ses deux ex-adjoints, Abdellah Rafouch alias «Ouled Laaroussia» et Abdelaziz Albanine, se trouveraient face au mur. Ils sont sommés de présenter des explications dans un délai d’une semaine et, au plus tard, jeudi prochain.
Le ministère leur a accordé ce délai pour qu’ils puissent s’expliquer, entre autres, à propos d’une affaire douteuse qui date de 2008.
La Cour d’appel administrative avait tranché dans ce dossier en donnant gain de cause à la société de l’ex-maire adjoint Abdelaziz Albanine.
La mairie de Marrakech doit donc lui verser la somme de 48 millions de DH au prétexte que Jazouli l’a exproprié d’un bien lui appartenant pour y construire une route. Ce faisant, l’ex-maire n’a pas respecté les procédures en vigueur.
De plus, il a conclu un accord tacite en faveur de la société de son adjoint Albanine, à qui est revenu le marché de construction de la route en question. D’où l’actuelle enquête diligentée par l’Intérieur.
D’après nos sources, cette affaire ne tardera pas à connaître d’autres rebondissements, la société civile et les politiques de la ville s’y intéressant de plus près.
Un sit-in a été observé au début de ce mois devant le siège de la mairie à Marrakech pour dénoncer d’autres abus similaires de l’ex-maire et de ses proches collaborateurs.
Les manifestants ont réclamé la poursuite de 19 responsables locaux impliqués dans des affaires douteuses portant sur la dilapidation des deniers publics.







