Autres articles
-
Le bilan de l'effondrement d'une autoroute en Chine monte à 48 morts
-
L’UE annonce une aide d'un milliard d'euros pour soutenir l'économie libanaise
-
La réponse du Hamas se fait attendre sur une proposition de trêve à Gaza
-
Inondations au Kenya. Au moins 42 morts dans la rupture d'un barrage
-
L'ONU appelle le G7 à être “ambitieux” face au changement climatique
Décidément les Israéliens et particulièrement Benyamin Netanyahou et son gouvernement aiment nager dans les eaux troubles. Voir les différentes factions palestiniennes autour de la table pour discuter de leurs différends et trouver un terrain d’entente afin d’affronter en commun l’ennemi israélien n’est pas du goût du Premier ministre israélien en pleine campagne électorale. Les retrouvailles inter-palestiniennes viennent brouiller ses cartes. Il sait mieux que quiconque que l’unité palestinienne retrouvée n’est pas en sa faveur, ni de celle de son parti. La désunion palestinienne, voire le déchirement palestinien était pour Benyamin Netanyahou un argument de taille qu’il brandissait face à ses adversaires politiques et même devant certains pays pour leur signifier qu’il ne faut rien attendre des Palestiniens. Et qu’ils ne peuvent être de ce fait d’éventuels partenaires pour des discussions sérieuses sur le projet de création d’un Etat palestinien et au-delà l’existence de deux entités vivant côte à côte.
Or, voilà que les Palestiniens au moment où le Premier ministre israélien s’y attendait le moins viennent de décider de jouer les trouble-fêtes en choisissant la réconciliation et de mettre de côté leurs différends souvent idéologiques à l’origine de souffrances du peuple palestinien pour s’atteler au seul problème fondamental, à savoir l’avenir de leur cause commune, c'est-à-dire mettre fin à l’occupation israélienne et contrer la judaïsation de Jérusalem en vue de créer un Etat palestinien indépendant.
Par le passé, le Premier ministre israélien, chaque fois que l’opportunité lui était offerte, essayait de tirer les marrons du feu de la mésentente inter-palestinienne pour poursuivre sa politique de mainmise sur les territoires palestiniens ou se lancer dans des opérations d’agression contre Gaza.
Le processus de réconciliation abouti et l’unité palestinienne retrouvée constituent la meilleure arme pour déjouer les desseins hégémonistes de Benyamin Netanyahou et sa droite extrémiste.
Or, voilà que les Palestiniens au moment où le Premier ministre israélien s’y attendait le moins viennent de décider de jouer les trouble-fêtes en choisissant la réconciliation et de mettre de côté leurs différends souvent idéologiques à l’origine de souffrances du peuple palestinien pour s’atteler au seul problème fondamental, à savoir l’avenir de leur cause commune, c'est-à-dire mettre fin à l’occupation israélienne et contrer la judaïsation de Jérusalem en vue de créer un Etat palestinien indépendant.
Par le passé, le Premier ministre israélien, chaque fois que l’opportunité lui était offerte, essayait de tirer les marrons du feu de la mésentente inter-palestinienne pour poursuivre sa politique de mainmise sur les territoires palestiniens ou se lancer dans des opérations d’agression contre Gaza.
Le processus de réconciliation abouti et l’unité palestinienne retrouvée constituent la meilleure arme pour déjouer les desseins hégémonistes de Benyamin Netanyahou et sa droite extrémiste.
