Comme il fallait s’y attendre, les socialistes ont été prompts à réagir demandant des excuses à celui qui est considéré comme le quatrième personnage de l’Etat.
On le voit, la campagne présidentielle française s’annonce très chaude et nous ne sommes qu’au début ! Qu’en sera-t-il par la suite ?
Cela risque de se terminer à couteaux tirés, un combat qui serait encore plus vif si le président candidat continue dans sa courbe descendante.
Il faut reconnaître que rien ne sourit à Nicolas Sarkozy. Il y a la crise financière européenne qui ne s’arrange pas malgré ses efforts et son forcing.
Ajouter à cela les «affaires» qui ressurgissent, celles des rétro-commissions du contrat des sous-marins avec le Pakistan et l’attentat qui a coûté la vie à des instructeurs français, ainsi que des enveloppes de la patronne d’Oréal. Et pour couronner le tout, son épouse Carla Bruni aurait usé de son influence pour faire verser des fonds à l’un de ses collaborateurs de la Fondation France «en marge de la légalité» et sans appel d’offres pour ses sociétés.
Est-ce à dire que le président candidat joue de malchance ou tout simplement le vernis de 2007 a commencé à s’écailler!