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Ce qui veut dire que le régime de Bachar Al-Assad vit ses derniers râles avant de sombrer dans la mort.
La quatrième réunion des Amis du peuple syrien, qui a regroupé des ministres des Affaires étrangères de plusieurs pays ainsi que les représentants d’institutions internationales et régionales, a conforté l’appui international à la lutte du peuple syrien et constitue, à n’en pas douter, une étape significative vers la fin du cycle des violences et le recouvrement très prochain de la liberté et l’émancipation des Syriens, mettant ainsi hors d’état de nuire Bachar Al Assad et son pré-carré composé de sanguinaires.
Dans leur fuite en avant, Bachar Al Assad et sa garde prétorienne ont recours aux armes les plus meurtrières telles que les bombes au phosphore.
Ils menacent même dans un sursaut désespéré d’utiliser des armes chimiques. Une éventualité qui leur coûterait alors une fin peu glorieuse et donc de répondre de crimes contre l’humanité.
Bachar Al Assad va-t-il avoir finalement un éclair de lucidité pour sauver sa peau en choisissant le chemin de l’exil ? Certains dictateurs comme lui l’ont fait, d’autres ont préféré périr sous les décombres de leur pays qu’ils ont réduit en ruines.
L’heure est déjà à penser à la reconstruction de la Syrie après l’ère Bachar Al Assad et à panser les blessures du peuple syrien meurtri par des mois de violences.
Les Syriens, malgré la brutalité de la machine de guerre du dictateur de Damas, ont pu, grâce à leur courage et leur détermination et en dépit du manque de moyens, porter des coups durs au régime qui se trouve ébranlé et sur le point de s’effondrer.
Désormais, le compte à rebours de la chute du régime a commencé. La résistance syrienne parle de huit semaines tout au plus.
Quoi qu’il en soit et en dépit du délai fixé, Bachar Al Assad et son régime font déjà partie de l’histoire, l’histoire sombre de la Syrie.