Le président-candidat a refusé d’admettre sa droitisation même quand les journalistes ont comparé, preuves à l’appui, ses récentes sorties avec les thèmes développés par la présidente du Front national, notamment sur l’immigration, la viande halal, question sous-jacente de la stigmatisation de la communauté musulmane et le durcissement des peines plancher…
Au-delà du Front national qu’il dit toujours avoir combattu, sa cible privilégiée reste le Parti socialiste et particulièrement François Hollande, son adversaire à la présidentielle dont il n’hésite pas à sérier tous les défauts qui l’empêcheraient d’être un président.
Ainsi, Hollande n’a jamais exercé une responsabilité publique, et surtout pendant les dix années qu’il est resté à la tête du Parti socialiste. Il n’a pas su s’imposer comme un vrai leader en essayant de contenter tout le monde. Autrement dit, il était un chef effacé !
Rien n’aura été épargné à François Hollande. Il en eu pour son grade. A chaque thème abordé de l’émission, Nicolas Sarkozy trouvait le moyen d’attaquer son principal adversaire, insistant sur son inexpérience et ses projets extravagants qui ne tiennent pas compte des réalités de la France, encore moins de la conjoncture internationale.
Justement, si la France a pu surmonter la crise financière internationale, c’est grâce à lui, Nicolas Sarkozy qui a su, en partenariat avec la chancelière allemande, agir à bon escient pour éviter le pire au pays.
Aussi, les Français auraient tout intérêt à lui renouveler leur confiance pour continuer à les protéger, d’autant que le premier quinquennat lui a permis d’apprendre le métier de président et le second lui servira à mettre l’expérience acquise au service de ses concitoyens.
Parmi tous les candidats à la présidentielle française, lui seul, Nicolas Sarkozy est le plus apte à diriger la France pour le bien-être des Français.
Comme dit l’adage, on n’est jamais bien servi que par soi-même.